La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 69

Partie analysée : Page 69 : Le titre :

Encore une fois, les accents sont inversés !
Nous avons 2 accents graves, sur le premier « E » de « HEBREUX » et sur le premier « E » de « DESERT ».
Phonétiquement « les hébreux » pourrait se lire « les zèbres eux » et « les hébreux dans » pourrait se transformer en « les deux zèbres ».
Nous retrouvons le « dais », la pièce en pièce, en bois ou en tissu en forme de cercle.
En écrivant la phrase à l’envers, nous obtenons : « TRESED EL SNAD XUERBEH SEL TE ESIOM ». En le répétant plusieurs fois à haute voix, quels sons peut-on entendre ?
« SEL TE ESIOM » peut se lire « celle de Sion », « celte sion », « celte si homme ».
« TRESED EL SNAD » peut faire « tresser dentelle », « treize de l’an »
« XUERBEH » peut faire « exhiber », « exhuber », « exubérant », « X (10) herbé », « X (10) après ».
Si on parle de l’an X, ce serait l’an X du calendrier révolutionnaire français ?
Qui dit mieux ?
Je fais une « légère » digression.
L’application Fsolver nous donne pour « expression venant de Moïse », le mot « areu », c’est-à-dire le mot dit par un nourrisson.
Nous avions aussi vu dans le tableau des pages 18 à21, le pic, le « Mail d’Arréou » pour « à la maille ». « Arréou » se nomme en français « Arreau ». C’est une petite commune des Hautes-Pyrénées près de Tarbes. Elle se situe dans le pays d’Aure. Il n’y a qu’un pas à franchir pour écrire « Pays d’Aure » en « Pays d’or »… le pays de l’or.
Sur la crête du col d’Arreau (Mail d’Arréou), plusieurs sites internet de randonnées et de cyclo-tourismes indiquent la présence d’un cairn sur cette crête. Ce cairn indique le début de la descente.
Je rapprochement de « areu » et « mail d’Arréou » me semble intéressant.
Il est à noter que Moïse selon la Bible était « incirconcis des lèvres ». Il parlait au peuple d’Israël par l’intermédiaire de son frère Aaron. Les auteurs se posent la question si Moïse avait un problème d’élocution ou si tout simplement comme il a été élevé dans la maison de Pharaon, il ne parlait pas hébreux et Aaron faisait la traduction.
Partie analysée : Pages 69 : Premier paragraphe :

Henri Boudet nous présente le début de l’exode avec la naissance de Moïse et son recueil par la fille de Pharaon. Dans l’Exode, c’est la mère de Moïse qui le trouvait beau. Il n’est pas dit que la fille de pharaon le trouvait beau. Il est juste dit qu’elle eut pitié de lui. Il est vrai que la mère de Moïse attendit trois mois avant de sans séparer et de le placer dans une caisse de jonc qu’elle mit dans les roseaux sur le Nil. La sœur de Moïse surveillait la caisse qui dérivait et elle vit que les servantes qui accompagnaient la fille de Pharaon le trouvèrent. Le verbe « exposa » me parait bizarre. Pourquoi « exposa » ? Dans la Bible, il est écrit, « elle le déposa parmi les roseaux, sur le bord du fleuve ». Le verbe « déposer » me semble beaucoup plus approprié que le verbe « exposer ».
La formule « une disposition miséricordieuse de sa Providence » me laisse sans voix.
La formule « touchée de la beauté de l’enfant » me parait bancale. Ne faudrait-il pas dire « touchée par la beauté de l’enfant » ?!
L’application Fsolver nous donne le mot « moche » pour la définition de « touché par la beauté », « Moche » comme « Moshé » ou « Moïse ». Serait-ce une piste ?
On voit que « Moïse », « mois » et « Moïse » forment une diagonale. Le « trois mois » faut-il le lire comme « trois mois » ou « trois moi » ou « trois Moïse » ? Faut-il voir un symbole de trinité (1 + 1 + 1 = 1) ? Nous avions vu que « Le père + Le fils + Le saint-Esprit = L’Amour de Dieu ». Avec les éléments présents dans le paragraphe pouvons-nous faire une autre forme de trinité : « La mère + La fille + la miséricorde = La Providence de Dieu » ? Mouais, c’est tout de même haut perché, je trouve !
La page wikipédia de Moïse met en lumière une grande incertitude sur l’origine et la signification exacte du nom « Moïse ».
Les linguistes semblent orienter leur analyse sur une origine égyptienne du nom « Moïse ». Ils pensent que les auteurs de l’Exode ont tronqué le nom. Il devait être en deux parties et la première partie n’a pas été reprise par les auteurs.
Les versions grecques et latines du nom « Moïse » seraient dérivés du nom égyptien.
Le mot hébreu dont dériverait « Moïse » est une manipulation linguistique appelée « paronasme ». On utilise des ressemblances phonétiques et/ou graphiques pour établir un lien entre deux mots qui n’en ont pas. Les auteurs veulent faire un lien entre « Moïse » et un mot hébreu qui a un sens alors qu’il découle d’un mot égyptien qui possède un autre sens.
En grec, le nom est « Moesus » qui signifie « tiré de ». Cela contredit ce que je viens de dire.
En hébreux, le nom est « Mosheh » qui signifie « tiré de ».
En Egyptien, l’affixe « -mosé » signifie « enfanter, engendré par ».
« Mosheh » viendrait de l’hébreux « mashah » qui signifie « retirer, tirer, arracher, puiser ».
Flavius Josèphe pratique un jeu de mots entre « Moïse » et « Mouses » qu’il rapproche de l’égyptien « mou » qui signifie « eau ».
On a l’embarras du choix !
Il est à noter l’absence de l’accent sur le premier « e » de « mère ».
Les « e » accentués sont très peu visibles sur cet extrait.
Le « e » de « mère » où il manque l’accent est en dessous du « E » de « HEBREUX » où un accent grave est présent à tort. Faut-il faire un lien ?
En dessous du « E » de « DESERT » où nous avons aussi un accent grave à tort, je n’ai pas trouvé de mot dans le paragraphe où un accent manquerait. On peut néanmoins constater que le « E » de « DESERT » qui porte un accent erroné surplombe précisément la fin du paragraphe.
S’il a été capable de mettre des accents graves sur « HEBREUX » et « DESERT » pourquoi n’y a-t-il pas le tréma sur le « I » de « MOISE » ? Faut-il lire « MOISE ET » : « MOIS ET » ou « MOISET » ou « MOISETTE » ? En page 67, nous avions trouvé les mots « noisetier, coudrier » ; le « coudrement » est le processus de teinte du cuir avec le tan des chênes. Faut-il faire un lien ?

Selon Henri Boudet, l’extrait est le suivant :
« elle l’adopta pour son fils et le nomma Moïse, parce que, disait-elle, je l’ai tiré de l’eau ».
Selon « La Sainte Bible » de Carrières, de 1877, l’extrait est le suivant :
« Celle-ci l’adopta pour son fils, et le nomma Moïse, parce que, disait-elle, je l’ai tiré de l’eau ».
Selon « La Sainte Bible » de Louis Segond, de 1844, l’extrait est le suivant :
« Quand il eut grandi, elle l’amena à la fille de Pharaon, et il fut pour elle comme un fils. Elle lui donna le nom de Moïse, car, dit-elle, je l’ai retiré des eaux. »
On peut dire que l’extrait rapporté par Henri Boudet est très fidèle à celui de la Bible de Carrières.
En conclusion, ce texte qui semble à première vue totalement anodin cache de multiples erreurs certainement volontaires de la part d’Henri Boudet. Faut-il voir dans ces erreurs la volonté de « coder » un autre texte ? Nous n’avons pas encore trouvé la grille de lecture de ce texte.
Avec très peu de modifications, le paragraphe peut être détourné en texte salace :
- « niqua » au lieu de « naquit »
- « et tira » au lieu de « attira »
- « l’explosa » au lieu de « l’exposa »
- « je l’ai tiré dans l’eau » au lieu de « je l’ai retiré de l’eau »
Et encore, je m’autocensure car tout le texte pourrait tourner à la séquence porno.
/ ! SENSURE ! /
Avec quelques adaptations, le texte pourrait être :
« Moïse niqua au milieu de ces six cons denses et adorables, de sa mère, après l’avoir tenu cachée durant trois mois, l’explosa sur le bord du fleuve avec un gode (Dieu), par sa position miséreuse et cordée de sa proéminence, et tira la fille de Pharaon. Toute chiée de la bite de l’enfant, elle le dompta pour son fist et le nomma Moïse, parce que disait-elle, je l’ai tiré dans l’eau. »
Extrait de « La Sainte Bible » de Carrières, de 1877 – L’Exode – Chapitre II :

Extrait de « La Sainte Bible » de Louis Segond, de 1844 – L’Exode – Chapitre II :

Liens
Ville d’Arreau : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arreau
Pays de l’Aure : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pays_d%27Aure
Dais : https://fr.wikipedia.org/wiki/Dais
Moïse : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mo%C3%AFse
Moïse (grec) : https://emcitv.com/bible/strong-biblique-grec-moseus-3475.html
Moshé (hébreux) : https://emcitv.com/bible/strong-biblique-hebreu-mosheh-4872.html
Mashah (hébreux) : https://emcitv.com/bible/strong-biblique-hebreu-mashah-4871.html



