La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 40

Partie analysée : Page 40 : Premier paragraphe :

Henri Boudet introduit une distinction entre « pouvoir (can) » et « posséder (kana) ». Le mot « Caïn » viendrait de pouvoir (can). « Caïn » serait le pouvoir, soit la faculté de posséder un homme par la grâce de Dieu. Et cela est suivi d’une phrase majestueusement alambiquée ! « La signification du nom de Caïn serait alors le pouvoir, la faculté de posséder un homme par la grâce de Dieu, et cette différence n’est point sensible dans la pensée qu’Ève a dû attacher aux paroles prononcées par elle à la naissance de son fils ». C’est à vomir ! Il y a probablement un ou plusieurs mots cachés dans ce paragraphe pourqu’il soit pareillement alambiqué. Cela n’est pas possible de construire des phrases pareilles dans un texte où nous avons des phrases d’un style beaucoup plus simple et classique.
Reprenons : Dans la Bible de Louis Segond, la phrase est « J’ai formé un homme, avec l’aide de l’Eternel ». Henri Boudet nous dit que Ève s’est écriée : « Je possède un homme par la grâce de Dieu », sous-entendu « J’ai le pouvoir de posséder un homme par la grâce de Dieu ». Et ces deux phrases n’ont pas de différence dans la pensée d’Ève lorsqu’elle la cria. Mouais. Je n’y suis pas encore ! Faut-il comprendre que c’est Dieu qui a légué le pouvoir de créer un homme à Ève car le seul homme qui existait jusqu’à présent était Adam et c’est Dieu l’avait créé ?
Nos amis pentecôtistes nous disent sur leur page « je veille sur mon cœur » quelque chose de très intéressante sur le pouvoir et l’autorité : « Le Petit Robert définit l’autorité comme le droit de commander, le pouvoir de se faire obéir, de prendre des décisions. À la lumière de cette définition, il apparaît une relation étroite entre l’autorité et le pouvoir. Le pouvoir c’est une capacité, une aptitude à faire quelque chose. Tandis que l’autorité c’est l’exercice du pouvoir reçu. Dans quels domaines Dieu nous a-t-il donné du pouvoir en tant que chrétiens, et l’autorisation d’exercer ce pouvoir ? » On en revient à ce que l’on a déjà analysé en page 39.
Pour rappel selon le psaume 146, « Appeler une chose par son nom, lui donner un nom, lui imposer le nom, est un exercice d’autorité : le père impose le nom à son fils, le maître à son serviteur ; Dieu donne le nom aux étoiles et les appelle par leur nom ». C’est Ève et non Adam qui a donné le nom Caïn à son fils alors que c’était une « prérogative » du père. En reprenant la formule d’Henri Boudet, Ève est attachée aux paroles prononcées par elle à la naissance de Caïn. Alors, donner naissance à un homme est « un pouvoir », un pouvoir reçu de Dieu ; donner un nom à son fils est « l’autorité ». Où faut-il arriver ? Que faut-il comprendre ? Il y a-t-il un prof de philo dans la salle ?
Continuons…
Selon le dictionnaire Français-Anglais de Percy SADLER :
- « can » signifie « pouvoir, être en état de, être capable de, avoir le pouvoir de, savoir »
- « can» signifie « canette, tasse, bidon »
- « canaille » (« can I », « puis-je ») signifie « canaille, terme de mépris donné au bas peuple »
- « cane » signifie « une canne, un roseau, un bâton »
- « to cane » signifie « donner des coups de canne, bâtonner»
Selon le livre « English learner’s guide to homophones » :
- « cain » signifie « une taxe, un pourcentage sur les céréales en Irlande et Ecosse »
- « kain » signifie « sarong, pagne (en feuilles) »
Et puis d’autres recherches internet nous donnent comme informations sur la capacité (can) et plus précisément son inverse, la non capacité (can’t) :
- « cant » signifie une multitude de choses :
- « la pente (slope, incline, gradient, grade, inclination) »,
- « le jargon (jargon, lingo, vernacular, patter) »,
- « surface oblique (bevel) »,
- « la secousse (shock, shake, jerk, jolt, jar) »,
- « oblique (oblique, slanting, skew, sidelong, bevel) »
 
Il est amusant de voir que « Cain » est une taxe sur les céréales alors que le « Caïn » de la bible était cultivateur céréalier et qu’il a offert des fruits de sa terre (des céréales ?, une taxe en quelque sorte) à Dieu et ce dernier à préféré l’offrande se son frère, Abel (les derniers nés de son troupeau et de la graisse). « To cane » signifie « donner des coups de bâton ». Il est certainement à rapprocher du tableau des pages 18 à 21 où nous avons retrouvé à de multiples reprises la notion de « donner une correction », « une volée de bois vert ». Et pour finir, le « kain » qui est le sarong. C’est une grand pièce de tissu que l’on enroule du bas du corps et que l’on noue à la hauteur des hanches dans certains pays asiatiques. C’est un kilt (encore !) à la sauce indonésienne.

Extraits du dictionnaires Anglais-Français de Percy SADLER :

Extraits « English learner’s guide to homophones » :

Partie analysée : Page 40 : Second paragraphe :

Et là, Henri Boudet part dans un délire pas possible ! Tout ce qu’il raconte n’a ni queue ni tête, tout est outrageusement faux. Il est passé d’une phrase où il faut un doctorat en philosophie à une ineptie sans nom ! Il dit que « Caïn » est écrit « Qin » dans le texte hébraïque et en langue celtique (anglais) son nom correspond au verbe « to coin (coïn) » qui signifie « battre monnaie, inventer ». Ne serait-ce pas Caïn qui aurait imaginé, inventé la valeur conventionnelle des monnaies ? L’amour trop vif de l’or et de l’argent étouffe les sentiments généreux, et arme ordinairement du fer meurtrier la main des assassins ». Nous avions vu que Caïn se dit Qáyin (קין)en hébreu et Qābīl (قابيل)en arabe.
Qáyin (קין)en hébreu est composé de 3 lettres hébraïques :
- Qof (ק), l’équivalent du « C, K, Q » en alphabet latin
- Yod (י), l’équivalent de « i » de l’alphabet latin
- Nun (נ), l’équivalent du « n » de l’alphabet latin
Qáyin (קין)en hébreu est composé de 3 lettres hébraïques :
- Qof (), symbolise « la nuque », on lui attache la valeur numérique « 100 »
- Yod (י), symbolise « la main », on lui attache la valeur numérique « 10 »
- Nun (נ), symbolise « le poisson, l’accroissement », on lui attache la valeur numérique « 50 »
Il est amusant de voir que « la quine » est une expression utilisée au loto dans le midi et en Suisse (encore une fois la Suisse !) lorsque que l’on a 5 numéros sur la même rangée. Aujourd’hui, on dit plutôt « Bingo ! ». Et nomme aussi un coup de dés au jeu du jaquet qui amène les deux 5. Et puis, si on par des homophones et presque-homophones, de « Qin » on peut dériver sur les mots anglais de « quean » et « queen ».
- « Quean » peut se traduire comme « une dame peu recommandable, une prostituée »
- « Queen » peut se traduire comme « une reine, la femme d’un roi ou la femme qui gouverne un royaume ; une dame, une tante, une folle ; seconde pièce du jeu des échecs ; dame au jeu de cartes ; la seule femelle fertile dans une colonie d’insectes »
Nous retrouvons encore une fois, la notion de prostituée ! Henri Boudet dit que « Caïn » vient de la langue celtique (anglais) son nom correspond au verbe « to coin (coïn) » qui signifie « battre monnaie, inventer ».
Selon le dictionnaire Français-Anglais de Percy SADLER :
- « coin » signifie « monnaie, argent ; encoignure ; angle ; une hache à fendre le bois ; sceau pour frapper les pièces d’argent ou les assiettes en argents ; broderies sur les chaussettes »
- « to coin» signifie « monnayer, battre monnaie ; forger ; inventer »
- « coign » signifie « clé de voûte »
Selon le livre « English learner’s guide to homophones » :
- « coign » signifie « Expendable metal or wooden wedge used by printers to lock up a form within a chase (pièce en métal ou en bois utilisée en imprimerie pour faire ressortir une forme dans une ligne d’imprimerie)
- « coin » signifie « une pièce en métal four frapper la monnaie, une pièce en métal qui sert de monnaie »
- « quoin » signifie « clé de voûte ou pierre d’angle en architecture »
Vous allez encore me dire que j’ai l’esprite mal tourné, mais dans « to coin », je vois « no coit ». Faut-il l’interpréter comme avec ou sans « relation sexuelle » ? Après le mot « prostituée », cela sonne bien. Henri Boudet continue en nous posant la question « Ne serait-ce pas Caïn qui aurait imaginé, inventé la valeur conventionnelle des monnaies ? ». Avant l’utilisation de pièces métalliques, les hommes ont connu une phase intermédiaire après le troc, avec l’utilisation d’objets de valeurs comme des perles ou des coquillages pour monnaie marchande. Ce n’est que l’utilisation de métaux précieux (or, argent, autres métaux) pour fabriquer des pièces où la valeur marchande étaient associées au poids de ces pièces selon leur métal. C’est ce que l’on a appelé la valeur faciale ou valeur conventionnelle, c’est-à-dire ce que cette monnaie permet d’acheter. Henri Boudet nous dit donc que c’est « Caïn » qui aurait pu être à l’origine de la valeur conventionnelle des pièces de monnaie car son nom « Caïn » serait issu du verbe anglais « to coïn » qui signifie battre la monnaie. La phrase suivante explique pourquoi il avance cela.
Il frappait le fer car il avait un amour trop vif pour l’or et l’argent. Les assassins utilisent une arme avec un métal ordinaire, le fer, car leur amour trop vif pour l’or et l’argent (métaux utilisés par les pièces de monnaie) étouffe les sentiments généraux. Ce n’est pas le cas de Caïn. Il n’a pas tué son frère Abel pour une question d’or ou d’argent, il l’a tué par jalousie car Dieu a préféré son offrande à la sienne.
Voici donc la phrase d’Henri Boudet : « L’amour trop vif de l’or et de l’argent étouffe les sentiments généreux, et arme ordinairement du fer meurtrier la main des assassins. » Cette phrase semble être une énigme à elle toute seule. La formulation me paraît bien étrange. Un « vif » est un terme héraldique qui représente un poisson (ou un animal marin) courbé en demi-cercle. L’amour peut être symbolisée par plusieurs choses en héraldiques, l’amour franc est symbolisé par une pomme. Les deux seuls métaux représentés en héraldique sont « argent » et « or ». Et nous les retrouvons tous les deux dans cette phrase !
- « Argent » est représenté par la couleur blanche
- « Or » est représenté par la couleur jaune
Je n’ai pas trouvé d’armoirie qui correspondrait à des pommes ou des vifs d’or et d’argent. J’ai trouvé des blasons avec des mains d’argent ganté d’or comme celle de la famille de Brossard de Sazinval en Champagne. Rien de bien concluant

Dans le novueau testament, nous avec le Proverbe XXV, verset 11 qui nous dit : « Comme des pommes d’or sur des ciselures d’argent, ainsi est une parole dite à propos. »
Nous retrouvons les pommes d’or sur ciselure d’argent en lien avec « la parole ». Cela est bien maigre pour établir un lien. Je ne suis pas convaincu.
Henri Boudet continue. Caïn avait cent-seize ans quand il tua son frère Abel. Henri Boudet support que les hommes étaient déjà nombreux car Caïn répondit à Dieu « Quiconque donc me trouvera, me tuera » lorsque ce dernier voulu le punir du crime que Caïn avait commis. Henri Boudet renchéri en disant que le nombre probable important d’hommes fit naitre l’idée à Caïn de remplacer les échanges «(le troc) par la valeur conventionnelle attachée aux métaux précieux, or et argent. C’est de pire en pire !
Je ne sais pas d’où vient l’age de 116 ans, l’âge auquel Caïn tua son frère. Faut-il l’écrite en chiffre romain : CXVI. Si on utilise la gématrie des lettres hébraïques, on pourrait avoir la chose suivante :
- Qof (Q) : 100
- Yod (I) : 10
- Waw (W) : 6
Ou
- Qof (Q) : 100
- Yod (I) : 10
- Hé (H) : 5
- Aleph : 1
On a vu que « Qin » pourrait faire 160 :
- Qof (Q) : 100
- Yod (I) : 10
- Noun (N) : 50
Le troisième fils d’Adam et Ève était Seth. Dieu donna ce fils à Ève pour remplacer Abel. Seth signifie « mettre, placer ». Adam avait 130 ans quand Seth naquit. Si Caïn avait 116 ans quand il tua Abel, cela signifie que Adam eut Caïn pour fils à la 4e année de sa vie. Adam ne naquit pas enfant mais homme. D’après « Les annales de l’ancien testament » de James Usher, la chute d’Adam et Eve du paradis a lieu la 10e année après la création. Les dates ne correspondent pas. Cela signifierait que Caïn serait né au paradis car jusqu’à la 10e année Adam et Ève vécurent au paradis alors que Caïn est bien né sur terre.
Quand Dieu pris connaissance de la mort d’Abel, il su que c’était Caïn qu’il l’avait tué. Il questionna Caïn pour qu’il avoue et ce repente. Dieu punit Abel : sa terrer ne lui donnera plus aucun fruit et il devra errer tout le reste de sa vie. Caïn sous cette sentence qui lui paru trop insupportable et dit que même s’il part loin de la face de Dieu si quelqu’un le reconnait comme celui qui a désobéi à la parole le Dieu, on le tuera. Dieu lui dit que personne ne portera la main sur lui. Si quelqu’un osait le tuait, Dieu le vénérait par sept fois (Dieu ôterait la vie à sept personnes de la famille du meurtrier). James Usher estime que le nombre de personnes sur terre était de 500 000 personnes au moment du meurtre d’Abel par Caïn. Il prend en référnece le verset 4, du livre V de la Genèse. Ce verset est : « Les jours d’Adam, après la naissance de Seth, furent de huit cents ans ; et il engendra des fils et des filles ».
Il n’y a que dans le livre de Samuel Chapitre XXIV où il y a une allusion d’un recensement du roi Joab où 800 000 hommes aptes au combat sont dénombrés en Israël et 500 000 dans le royaume de Juda. Cette population de 500 000 et ces 116 ans (âge de Caïn) reste un mystère. On ne peut que relever deux valeurs dont l’origine reste un mystère.
Extrait du dictionnaire Anglais-Français de Percy Sadler :


Extraits « English learner’s guide to homophones » :

Les lettres hébraïques

Extrait de « La sainte Bible » de Carrières, 1844 : La Genèse, chapitre IV

Extrait de « La sainte Bible » de Louis Segond de 1877 : Les proverbes XXV

Extrait de « La sainte Bible » de Louis Segond de 1877 : La Genèse, chapitre IV, verset 14

Extrait de « La sainte Bible » de Louis Segond de 1877 : La Genèse, chapitre V, verset 4

Extrait de « La sainte Bible » de Louis Segond de 1877 : Le livre 2 de Samuel, chapitre XXIV, verset 9

Extrait de « Annales de l’ancien testament » de James Ussher, 1650

Partie analysée : Page 40 : La marque « 3 » en bas de page :

Il est étonnant de constater cette marque « 3 » en bas de page qui n’est pas un renvoi, ni n’est pas un commentaire. On ne sait pas trop à quoi il correspond. Henri Boudet a mis le paquet pour mettre en évidence de « 3 » en gras et qui semble être d’une police plus importante. La justification de la dernière ligne de la page « phe, il ne faut point perdre de vue une » est très bizarre d’autant plus que le premier mot de la page suivante est « expression » qui aurait pu être coupé et dont laou les deux premières syllabes auraient pu être en fin de page 40.On remarque un espace sur cette ligne juste au-dessus de la marque « 3 ». Cela a été fait possiblement intentionnellement.
Si on prend les 2 mots du bas en aplomb du « 3 », nous avons « sur » et « mot ». On copie le « r » sur sur mot, cela ferait « mort » et « sur », soit « morsure ».
Sur les lignes précédentes, nous avons « lui » et « d’Abel ». On copie le « i » que le « d’Abel », cela ferait « d’Abeil », soit « d’Abeille ».
On remarque sur nous avons deux homophones : « du fer » et « dû faire »
On peut lire « enfer » dans les 2 sens « EN » de sentiments + « FER » et « EN » de cent + « FER ».

Si on essaie d’extraire le texte, des différentes lignes en aplomb de la marque « 3 », on pourrait conserver les mots suivants :
Dans les paroles prononcées par son fils.
LE TEXTE
TIQUE (DIT QUE)
MONNAIE (NAIT)
SENS (SANS) VERITABLE
VALEUR (VA – LEUR)
L’AMOUR TROP VIF
DES SENTIMENTS
EN FER MEURTRIER (ENFERME (EURTRIER) ou ENVERS MEURTRIER)
SANS SEIZE ANS (SANS CESSE AUX)
CRIMES AFFREUX QUi
AVEC JUSTE RAISON.
PUISQUE CAIN
DISAIT : « QUICONQUE
ME TUERA. LA (L’)
HUMAIN A DU FAIRE
REMPLACER
VALEUR CONVENTIONNELLE
OR ET ARGENT.
LE SECOND FILS
NE LUI A POINT FAIT DERIVER.
PAR LA MORT D’ABEL, LE DEUIL
SUR LA TERRE.
LE SENS DU MOT ABEL
En essayant de mettre bout à bout les mots extraits et en brodant on peut arriver au texte suivant : « Dans la parole prononcée par son fils, dit que naît le sens véritable de leur amour trop vif. Des sentiments envers un meurtrier (ou enferme) sans cesse aux crimes affreux avec juste raison puisque Caïn disait « Quiconque me tuera, l’humain a dû faire remplacer le valeurs conventionnelles rattachées à l’or et l’argent ». Le second fils ne lui a point fait dériver. Par la mort d’Abel, le deuil apparait sur la terre. C’est le sens du mot Abel. »
Quel était l’intention d’Henri Boudet ? Mystère ! A-t-il voulu faire un exercice de codage d’un texte caché qui complète la pensée amenée par le texte ? Je ne sais pas.
Cet exercice ouvre la porte sur l’interprétation du « cent seize ans » qui ne sort de nulle part. Aucune source n’indique cet âge de cent seize ans. On peut suspecter une mauvaise typographie volontaire de « ans » en « aus » pour que l’ont puisse lire le « cent seize ans » en « sans cesse aux ». C’est une possibilité.
Malgré son crime, Caïn semble ressentir un fort sentiment de culpabilité malgré l’amour qu’il portait pour son frère. Il est en deuil et accepte le jugement de Dieu. Il portera ce deuil (il errera) jusqu’à la fin de ses jours. La notion de deuil est bien portée par le mot « Abel ».
Faut-il aller encore plus loin ?
Faut-il comprendre qu’Henri Boudet a pardonné à un Caïn, à un homme qui aurait tué son frère par jalousie et/ou par profit mais que ce Caïn est rongé par le remord et qu’il porte un deuil sincère ?
Henri Boudet était-il au courant d’une sale affaire mais qu’il n’a rien dit sous le couvert de la confession ? Je ne sais pas.
Liens
Sarong : https://fr.wiktionary.org/wiki/sarong
Appeler, signe d’autorité : https://www.bible.audio/definition-calmet-465-Appeler.htm#:~:text=Appeler%20une%20chose%20par%20son,leur%20nom%20(Psaumes%20146.4).
Domaines d’autorité chrétienne : https://jeveillesurmoncoeur.com/blog/3-domaines-dautorite-du-chretien-selon-la-bible/
Lettres hébraïques : https://www.aeram.fr/grammaire/les_lettres_resume.html
Yod : https://www.aeram.fr/grammaire/yod.html
Nun : https://www.aeram.fr/grammaire/nun.html
Alphabet hébreu : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_h%C3%A9breu
Yod : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yod_(lettre)
Nun, Noun : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nun
Qof : https://fr.wikipedia.org/wiki/Qof
Quine : https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/quine/65722
Clé de voute : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cl%C3%A9_de_vo%C3%BBte_(architecture)
La création de la monnaie : https://www.kartable.fr/ressources/ses/cours/quest-ce-que-la-monnaie-et-comment-est-elle-creee/50911
Héraldique, la main : https://www.blason-armoiries.org/heraldique/tables-heraldiques/figures-naturelles/hommes/main.htm
Héraldique, la pomme : https://www.blason-armoiries.org/heraldique/p/pomme.htm
Héraldique, amour : https://www.blason-armoiries.org/heraldique/symbolique/a/amour.htm



