La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 36

Partie analysée : Page 36 : Premier paragraphe :

Henri BOUDET continue de se justifier pour l’utilisation de « i – he – u – i » (YHWY) alors qu’en hébreux on utilise « i – he – u – he » (YHWH) pour le nom de Dieu.
Comme je le disais dans l’analyse de la page 35, cette volonté consciente d’utiliser « i, he, u, i » (YHWY) au lieu de la forme hébraïque « i, he, u, he » (YHWH) vient certainement de la version latine de la Bible dans laquelle l’expresion latine du nom de Dieu « Ego sum qui sum » a été utlisé. Elle est traduite en français soit par « je suis celui qui suis » ou par « je suis celui qui est ».
- « je suis celui qui suis » : « je suis (i (am)) celui(he) qui(u) suis (i (am)) » (YHWY)
- « je suis celui qui est » : « je suis (i (am)) celui(he) qui(u) est (he (is)) » (YHWH)
Henri Boudet nous parle de la différence de la quatrième lettre : « Y » à la place de « H ». Et là, Boudet le magicien nous dit qu’il n’y a rien d’embarrassant dans cette différence et il le justifie par le fait que le pronom personnel anglais « ye (vous) » contient le « y » et le « e ». On peut interpréter le « y » comme un « i » (le « je » anglais ») et le « e » comme le « he » (le « il » anglais). Il essaie d’expliquer que phonétiquement « ye (vous) » = « y (« i / je ») » + « e (he / il) ». Et c’est la raison pour laquelle c’est le celtique (anglais) et non l’hébreux qui justifie la décomposition syllabique du nom de Dieu. La difficulté ou la divergence de traduction du latin (« ego sum qui sum ») au français (« je suis celui qui suis » / « je suis celui qui est ») serait expliquée par l’anglais ?! Henri Boudet s’est fait un gros plaisir. Ce qu’il raconte est du grand n’importe quoi ! D’autant plus que nous avons vu que l’expression latine « « Ego sum qui sum » est une traduction de l’expression hébraïque originelle : « אֶהְיֶה אֲשֶׁר אֶהְיֶה, (Ehyeh Asher ehyeh) ».
Partie analysée : Page 36 : Second paragraphe :

Henri BOUDET continue de justifier la double utilisation possible de « i – he – u – i » (YHWY) alors qu’en hébreux on utilise « i – he – u – he » (YHWH) pour le nom de Dieu. Dieu étant unique mais multiple à la fois. Il est un mais il représente la Sainte Trinité composée du père, du fils et de l’Esprit-Saint. Comme selon lui, il a pu expliquer les deux tétragammes possibles YHWH et YHWY par le celtique (anglais) et que les hébreux ne peuvent l’expliquer et plus en ce, les hébreux eux-mêmes ne savent plus comment YHWH se prononce, il affirme qu’il est dans le vrai.
Partie analysée : Page 36 : Troisième paragraphe :

Henri Boudet continue en affirmant ou supposant que les Celtes de la Gaule connaissaient la signification du vrai nom de Dieu pour deux raisons :
- Les celtes sont originaire de l’Asie. Ils ont émigrés par plusieurs vagues vers l’Occident
- Les celtes parlaient l’anglo-saxon
Il est étrange de relever la volonté d’Henri Boudet d’utiliser le terme « la langue Anglo-Saxonne » alors que depuis le début du chapitre il utilise le terme « la langue celtique ». Il est aussi à relever que la ligne « que les Celtes étaient loin d’ignorer et ce nom et sa » est extrêmement chargée. Henri Boudet avait demandée à l’éditeur des césures et des mises en pages bien précises. Pourquoi n’avoir pas mis le dernier mot de la ligne « sa » sur la ligne suivante ? D’autant plus que sur la dernière ligne du paragraphe il reste beaucoup de place. Seuls « plaides celtiques. » y sont présents. Cela semble aller dans le sens dans thèses où la position des mots dans le texte revêt une grande importance. Il faut trouver peut-être des mots cachés grâce aux césures et à la postion des mots dans les pages du livre. Mais pour l’heure, je n’ai pas relevé grand-chose dans ce sans.
Je m’arrête sur les césures (les mots coupés). Je regarde les deux derniers mots : « peu- plades celtiques ». Pour moi « plades » ne veut rien dire. Mais cela signifie quelque chose pour google ! Une étoffe de tartan ! Si je prends le premier mot coupé : « person- nels ». « Nels » peut se comprendre « nails » qui signifie « clou » ou « ongle ».

Et puis vous allez me dire que j’ai l’esprit mal tourné mais « les relations de la Gaule avec l’Asie étaient incessantes ». Je comprends que les relations allaient d’est en ouest et d’ouest en est de manière incessante, ou de droite à gauche et de gauche à droite… On parle de quoi ? De la Gaule ! Des « Celtes » ou des Kelts ou des Quettes ! Et cela parle de langue… et de sex… heu de saxe. « Jehovah » est le nom de Dieu et cela se dit en anglais « God ». Et un « God » n’est pas qu’un Dieu. J’ai l’impression que l’on me parle d’une séquence porno de manière à peine voilée. Franchement, je me pose des questions.
J’ai essayé retranscrire ce texte avec une police à chasse fixe et sans espace.
J’ai essayé de trouver des mots ou des syllabes sans succès.
Je pensais que les « O » étaient des points d’alignement des lignes.

J’ai essayé de relier les mots par 3 pour former des « ˅ » ou des « ˄ »
Le texte résultat n’est pas très convainquant.
De beaux efforts mais qui n’aboutissent pas à grand-chose.
Si cela peut donner des idées à quelqu’un.
Texte d’origine :


Partie analysée : Page 36 : Quatrième paragraphe :

Henri Boudet nous dit que c’est en 1491 avant la naissance de Jésus-Christ que Jéhova révéla son nom à Moïse. Cela me parait bien étrange ! Je ne savais pas que des personnes, des historiens, des chercheurs, des théologiens, ou que sais-je avaient établi une chronologie dans les évènements bibliques. Mais Henri Boudet fait référence à quel calendrier pour donner une année à 1491 avant la naissance de Jésus-Christ ? Le calendrier grégorien probablement. Nous avons plusieurs calendriers qui ont été utilisés dans la création du monde (au sens biblique) jusqu’en 1886 ou à nos jours. Il y eu le calendrier hébraïque, romain, julien, grégorien. Il y eu aussi le calendrier égyptien. Il existe même un calendrier maçonnique. Et la plupart de ces calendriers possèdent un point de départ qui est l’ « Anno Mundi ». Dans le monde chrétien, l’AnnoMundi est la date à laquelle Dieu créa l’Adam. Pour le calendrier maçonnique, on préfère le terme d’ « Anno Lucis » plutôt qu’ « Anno Domini ».
Après quelques recherches, c’est un archevêque Anglican, James Ussher qui essaya d’établir un calendrier des évènements en fonction de la Bible et de l’ancen testament. Le livre de références est « Les annales de l’ancien testament, retracées depuis l’origine du monde », publié en 1650. Il fait démarrer la chronologie 23 octobre 4004 avant Jésus-Christ à midi. Ses travaux seront incorporés dans une nouvelle version de la Bible en 1701. Mes des découvertes archéologiques mettrons bien évidemment à mal à cette chronologie.
Nous savons que l’exode du peuple d’Israël entre la sortie d’Egypte jusqu’à l’arrivée en Palestine dura 40 ans. Lorsque Dieu donna les tablettes des lois à Moïse, les 10 commandements, sur le Mont Sinaï, le peuple d’Israel blasphème et adorant un veau d’or. Moïse retient la colère de Dieu et le peuple d’Israël fut punit d’errer 40 ans dans le désert avant d’atteindre la terre promise. Et Moïse ne la verrai pas de son vivant.
C’est Josué qui pris la tête du peuple d’Israël en exode à la mort de Moïse. Le peuple d’Israël avec Josué à sa tête conquit la Palestine. L’efficacité guerrière de Josué et des hébreux est mis en avant dans la Bible. Dans l’ancien testament, nous basculons de l’Exode au livre de Josué. Certaines sources indiquent que la révélation de Yavéh à Moïse se serait bien faite la première année de l’exode. Henri Boudet continue sur le fait que Josué a mis 6 ans pour conquérir la Palestine. Si nous prenons la chronologie de James Ushher, les dates données par Henri Boudet correspondent. Moïse reçoit les tables de la loi par Yavéh en 1491 avant J-C. Moise passe le Jourdain avec Josué et 1451 ant JC. Moïse désigne Josué comme successeur avant de mourir. En 1445 avant J-C, la première année de Sabbat (de paix) après la conquête de Canaan.
Henri Boudet continue en disant que l’armée de Josée avec une protection divine, elle était d’une force invincible qui éclatait dans les secours surnaturels prodigués aux descendants de Jacob. Cela frappait d’étonnement les peuples asiatiques. Il est étonnant de voir « descendans » écrit sans « t ». Il est étonnant de trouver 3 fois « dans » comme dernier mot de ligne dans ce paragraphe, dont 2 « dans » qui se suivent. La phrase « Cela frappait d’étonnement les peuples asiatiques. » m’interpelle. A quoi fait référence Henri Boudet ? Il existe une théorie que les 3 fils de Noé sont à l’origine des 3 « races » humaines. Elle s’appelle « la table des peuples » :
- Japhet est le père des peuples eurasien,
- Cham est le père des peuples arabes
- Sem est le père des peuples sémitiques
Mais selon la carte « tableau des nations et la dispersion des fils de Noé après le déluge », sur la partie est qui correspond à la péninsule arabique, ce sont les fils de Sem qui s’y établirent, dont les sémites (les hébreux). Mais alors qui sont donc ces peuples asiatiques ?! Dans les différentes représentations du monde selon la Bible, nous trouvons au centre du monde (connu à cette époque) ou le centre de la carte la terre promise à Dieu aux enfants d’Israël (descendants de Jacob), représenté sur les cartes d’époque par le pays de Canaan (soit, la Palestine) qui deviendra les royaumes de Judée et d’Israël.
Si nous restons sur ces représentations, qui est ce peuple asiatique ? Sachant que toute la partie orientale connue était occupée par les enfants de Sem, les sémitiques. Cela ne colle pas vraiment. Lors de la conquête du Pays de Canaan par les hébreux, le Bible fait référence aux Moab. Les assyriens furent les grands ennemis des hébreux, ces derniers en captivité à Babylone. Mais cet épisode est bien plus tardif. Les autres royaumes voisins sont le royaume d’Aram-Damas, le royaume d’Ammon et le royaume d’Edom. Les Assyriens sont bien plus au nord est. Quel est ce peuple dit « asiatique » qui avait compris que le peuple hébreux avec à sa tête Josué était épaulé par l’aide divine de Yavhé ? Peut-on considérer que les moabites est le peuple dont Henri Boudet référence. Si c’est le cas, pourquoi en fait-il référence ?
Henri Boudet continue en disant que comme tous les enfants de la terre étaient enfants de Noé et les peuples qui ont migrés en Europe sont des descendants des hébreux, par l’intermédiaire de Noé, son fils Japhet et son petit-fils Gomère à qui ont attribue l’origine des Cimmériens, des Germains et des Celtes, ces derniers devaient connaitre l’Histoire des hébreux et le nom de Jéhova.
Henri Boudet continue sur cette voie et il avance c’est pour cela que les celtes avaient une vénération extrême pour le nombre 3 « qui représentait à leur esprit la Trinité sainte dans l’unité Divine ».
Alors, là ?!
Les Celtes n’avaient pas du tout les les mêmes Dieux, ni les mêmes traditions que les hébreux de la Bible ! Les Celtes avaient un panthéon de diviniités et absolument pas un Dieu unique ! Et la formule est tournée bizarrement : « On ne doit pas être surpris que, possédant le sens de ce nom sacré, les Celtes aient professé une vénération extrême pour le nombre trois, qui représentait à leur esprit la Trinité sainte dans l’Unité divine. ». Avons-nous encore un code à trouver ? Faut-il extraire du textes 3 mots ou 3 syllabes qui formerait une phrase ou un mot ? J’ai l’impression que ces que ce nous dit à demi-mot Henri Boudet.
Il y a 3 unités à assembler pour en faire une.
A tort ou à raison, on attribue des symboles (figures stylistiques) aux celtes. L’archéologie moderne a démontré que cela était erroné pour plusieurs de ces symboles. Mais dans l’esprit de certains, ces symboles sont celtiques :
 : Le triskèle : Le triskèle
 : Le triquétra : Le triquétra
 : Le triquétra chrétien avec le nœud de la trinité : Le triquétra chrétien avec le nœud de la trinité
 : Le nœud des trois cercles : Le nœud des trois cercles
 : La croix celtique : La croix celtique
De ce que j’ai pu en comprendre ces symboles n’étaient pas du tout ou pas à proprement parlé cetltique. Le triquétré chrétien et le nœud des trois cercles étaient utilisés au début de la christianisation des peuples celtes. La croix celtique est graphiquement une croix chrétienne entourée par un cercle. Ces représentations sont un mélange de trinité (symbole chrétien) et de symboliques celtiques. Pour aller un petit peu plus loin et comme aime à le dire notre ami Ludovic, c’est le résultat d’un espèce de syncrétisme.
Notre ami wikipédia nous donne plusieurs exemples de l’importance du chiffre 3 dans les traditions celtiques au-delà des formes symboliques que nous venons de voir :
- L’harmonie des 3 royaumes : animal, végétal, minéral
- Les 3 niveaux de l’univers (inscrits dans la croix celtique) : le chaos /la Source (Keugant), le monde terrestre / expérience humaine (Abred), la lumière / le cercle final (Gwenwed)
- Les divinités celtes à 3 têtes
- La découpe du temps en 3 parties : passé, présent, futur
- Les 3 fonctions des Dieux : Lug (divinité universelle, artisan du monde), Ogme (divinité guerrière) et Dagda (divinité druidique)
- Les 3 catégories de leurs classes sociales : les travailleurs, les guerriers, les druides
- Etc…
La seule divinité celte à 3 têtes que j’ai trouvé est Cernunnos. ET encore ! Il est rarement représenté à 3 têtes. Son nom signifirait « (Dieu) cornu ».
Jean-Joseph De Witte dans son étude sur les dieux tricéphales gaulois, indique que les seuls Dieux à trois têtes don fait référence la littérature et auxquels nous pouvons rattacher des Dieux celtiques ou ayant vécu (de manière légendaire) sur le territoire de la Gaule sont Géryon qui fut combattu par Hercules dans les Pyrénées et Taurus (Tauriscus, ou le taureau crétois) qui fut capturé par Héraclès (pendant grecque d’Hercule) lors de l’exécution de l’un de ses 12 travaux.
Faut-il rapprocher Cernunnos à Géryon et Taurus ?
Joseph Vendryes s’est penchés sur « l’unité des trois personnes chez les celtes » dans son étude de 1935.
Il existe bon nombre de mythes et de légendes irlandaises et galloises qui font apparaitre 3 personnages. Il est commun que ces 3 personnages soient 3 frères jumeaux. Cela a été repris et compilé dans le livre « L’unité en trois personnes chez les Celtes » par Joseph De Witte en 1935. En grand nombre d’exemples y sont mentionnés.
Je pense qu’Henri Boudet essaie de faire un lien entre les hébreux et les celtes par le biais de la trinité présente dans les 2 sociétés. Mais avec lui, rien n’est certain. Cela fait près d’un siècle et demi que rien n’est certain. Comme a dit Jean-Luc Goddard : « Si vous avez compris ce que j’ai voulu dire c’est que je me suis mal exprimé »… c’est du Boudet !
Malgré tout ce qui a été dit, Malgré l’extrait de la page 23 qui dit « la possibilité d’exprimer par le nom Jéhova la Trinité dans l’unité ? »
La phrase « On ne doit pas être surpris que, possédant le sens de ce nom sacré, les Celtes aient professé une vénération extrême pour le nombre trois, qui représentait à leur esprit la Trinité sainte dans l’Unité divine. » reste à élucider.
Elle le sera dans le paragraphe suivant.
Extraits des « Annales de l’Ancien Testament » de James USSHER, 1650
NB : Je n’ai pas trouvé de version originale numérisée. Le texte numérique que j’ai trouvé ne semble pas être totalement fidèle au livre d’origine. Il existe des références à des textes bien plus récents. Il est possible que cela soit une réédition récente. Néanmoins, les évènements mentionnés et les dates correspondent à celles mentionnées par Henri Boudet.
 
  
  
  
 
Peuplement de la terre par les fils de Noé :

La carte en T de l’occupation du monde par les enfants de Noé par Guntherus ZINER, 1492
Les limites du monde connu était l’Europe, l’Afrique et l’Asie. Les pays plus ou moins proches de la mer Méditerranée. Au-delà du grand océan qui correspond à l’océan atlantique (« mare oceanum » qui forme le cercle extérieur) du dessin, il n’y avait pas de monde connu. Il représente les limites du monde connu. La mer méditerranée en T (Mare magnum fine mediterraneum) sépare les 3 continents :
- L’Asie à l’Orient, à l’Est (en haut de la carte) peuplé par les enfants de Sem
- L’Europe entre Occident et Septentrion, au nord-ouest (en bas à gauche de la carte) peuplée par les enfants de Japhet
- L’Afrique entre le méridien et l’Occident, au sud-ouest (en bas à droite de la carte) peuplée par les enfants de Cham
Cette carte stylisée correspond bien à la carte précédents où nous avons en bleu les enfants de Japhet, en rouge les enfants de Cham et en jaune les enfants de Sem.

Les royaumes de Judée et d’Israël et leurs voisins :

Extraits de « Dieu tricéphale gaulois », de Jean-Joseph De Witte, 1875


 
 
Liens
Elohim : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lohim
Dénomination de Dieu dans le judaïsme : https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9nomination_de_Dieu_dans_le_juda%C3%AFsme#Adona%C3%AF
Le tétragramme YHWH : https://fr.wikipedia.org/wiki/YHWH
La chute du Paradis : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chute_(Bible)
L’arbre de la connaissance : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arbre_de_la_connaissance_du_bien_et_du_mal
La tour de Babel : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_de_Babel
La tour de Babel, le tableau : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Tour_de_Babel_(Brueghel)
Les pronoms en hébreux : https://lilmod-aleph-beth.fr/grammaire/les-pronoms-en-hebreu/
Yod, 10e lettre de l’alphabet hébreux : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yod_(lettre)
Hé, 5e lettre de l’alphabet hébreux : https://fr.wikipedia.org/wiki/He_(lettre)
Vav ou waw, 6e lettre de l’alphabet hébreux : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vav_(lettre)
Alphabet hébreux : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alphabet_h%C3%A9breu
Expression « Ego sum qui sum » : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ego_sum_qui_sum
Le buisson ardent : https://fr.wikipedia.org/wiki/Buisson_ardent_(Bible)
Chronologie de la Bible : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_de_la_Bible
Chornologie de la Bible Eglise évangélique baptiste : http://eebi.net/spip.php?article409
Anno Mundi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anno_Mundi
L’ère hébraïque : https://fr.wikipedia.org/wiki/Calendrier_h%C3%A9bra%C3%AFque
Le calendrier grégorien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Calendrier_gr%C3%A9gorien
La calendrier Julien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Calendrier_julien
Le calendrier romain : https://fr.wikipedia.org/wiki/Calendrier_romain
Le calendrier maçonnique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Calendrier_ma%C3%A7onnique
La chronologie d’Ussher : https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_d%27Ussher
James Ussher : https://fr.wikipedia.org/wiki/James_Ussher
La sortie d’Egypte : https://fr.wikipedia.org/wiki/Exode_hors_d%27%C3%89gypte
Josué : https://fr.wikipedia.org/wiki/Josu%C3%A9
Terre promise : https://fr.wikipedia.org/wiki/Terre_promise_(religion)
Guerre civile de Navarre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_civile_de_Navarre
Jean II, roi d’Aragon : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_II_(roi_d%27Aragon)
Table des peuples : https://fr.wikipedia.org/wiki/Table_des_peuples
Cham, fils de Noé : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cham_(fils_de_No%C3%A9)
Sem, fils de Noé : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sem_(Bible)
Japhet, fils de Noé : https://fr.wikipedia.org/wiki/Japhet
Japhétites et généalogie biblique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Japh%C3%A9tites
Royaume de Moab : https://fr.wikipedia.org/wiki/Moab_(royaume)
Gomère, fils de Japhète : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gom%C3%A8re
Triskèle : https://fr.wikipedia.org/wiki/Trisk%C3%A8le
Triquetra : https://fr.wikipedia.org/wiki/Triquetra
La croix celtique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Croix_celtique#:~:text=La%20croix%20celte%20ou%20celtique,ou%20d’un%20animal).
Symbolique du chiffre 3 dans la mythologie celte : https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbolique_du_chiffre_3_dans_la_mythologie_celte
Mythologie celtique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mythologie_celtique
Cernunnos, dieu gaulois tricéphale : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cernunnos
Géryon : https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9ryon
Taureau crétois : https://fr.wikipedia.org/wiki/Taureau_cr%C3%A9tois



