La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 24

Henri BOUDET avance que le fait que les dénominations des lieux et des tribus ne pouvaient pas être le fruit du hasard, ni de la volonté du peuple ou des peuples (grand nombre). Il pense qu’il y avait un corps, une élite qui avait en charge la définition de ces noms. Il en prend pour preuve des noms de lieux identiques aux deux extrêmités de la Gaule. Il prend l’exemple d’Aleth, sille sur le territoire des curiosolites et Aleth-les-bains en Languedoc. Il avance aussi que ces deux localités avaient la même industrie.
Quelle curiosité insolite : les curiosolites ! Jeux de mot à la Boudet ! Ce peuple ne s’appelait pas les « curiosolites » avec un « U » mais les « coriosolites » avec un « O ». Les coriosolites étaient une des tribus celtes qui occupaient l’Armorique. Leur nom signifiait « les troupes qui veillent ». La cité d’Aleth est aujourd’hui occupée par la ville de Saint-Servan. Corseul en était la capitale : outre son propre territoire actuel, il couvrait les territoires actuels des communes de Quévert, Aucaleuc, Vildé-Guingalan (leur moitié nord), Saint-Maudez, Saint-Michel-de-Plélan, Saint-Méloir-des-Bois, Bourseul (leur moitié nord également), Nazareth (aujourd’hui un quartier à l’est de Plancoët) et Languenan (sa moitié sud). A l’époque gauloise, avant l’arrivée des romains, la capital qui fut un moment Courseul fut transféré à la cité d’Aleth. Je retiens, qu’il couvre un lieu-dit qui s’appelle Nazareth !
Aujourd’hui nous savons que l’activité importante des Coriosolites était le battage de monnaie et le commerce avec la Bretagne (commerce maritime avec la Grande-Bretagne, j’entends). Mais à la fin du 19e siècle qu’elle était la connaissance des historiens sur l’activité des Coriosolites ? Ce n’est qu’à partir de 1935 que des trésors (ensembles de pièces) coriosolites ont été découverts sur l’île anglo-normande de JERSEY.
Pour Aleth-les-bains, il n’y a pas vraiment d’étude archéologique sur le territoire. Avec la mise en service des bains et le bienfait des eaux termales aux 19e siècles, des vestiges laissent penser que les romains connaissaient et utilisaient cette source thermale. Nous n’en savons pas plus. Cela est bien maigre. On saute directement au 8e siècle après-Jésus-Christ et le début des grandes constuctions religieuses.
Henri BOUDET nous dit que ces deux villes ont un sol bien ressemblant. Dans ls faits, ce n’est pas du tout le cas. De nombreux stocks de pièces d’argents ont été retrouvés à Aleth en Bretagne alors que la richesse du sol d’Aleth-les-bains est son eau thermale. Que faut-il comprendre ? L’eau thermale d’Aleth-les-bains est le trésor ? ou bien le trésor est caché dans la source thermale ? et un trésor en pièces est enterrée sur la commune d’Aleth-les-bains ? Je ne pense pas qu’Henri BOUDET voulait dire qu’il y a ou qu’il y avait une source thermale dans la cité d’Aleth en Bretagne. C’est une évidence.
Henri BOUDET continue avec Rennes et Rennes-les-bains. Les deux cités portent le même nom à cause de leurs menhirs et leurs pierres blanlantes. Ce qu’il avant est loin d’être évident.
Les principales pierres levées près de Rennes sont :
- Le menhir du cas rouge
- La roche aux fées
- Les Mégalithes du carrefour de la grande lune
Il est à noter la commune de « Saulnières » au sud de Rennes où tout près se trouver le menhir dit de « La pierre des fées » à Janzé. Il existe la pierre tremblante de Huelgoat en Bretagne mais elle est à 200 km de Rennes.
Les principales pierres levées près de Rennes-les-bains sont :
- Le fauteuil du diable
- La roche tremblante
- La pierre levée ou pierre du dé
Les points communs entre Rennes et Rennes-les-bains sont bien maigres : il existe des menhirs et des pierres tremblantes près des deux villes. De plus, la pierre tranblantes connues en Bretagne n’est pas près de Rennes. Le rapprochement n’est pas très justifié. Raymond LIZOP et Louis FEDIE ont tout deux au 19e siècle étudié l’origine des noms d’Aleth et de Rennes en Bretagne et dans le Languedoc. Les études sont controversées. Il n’est pas certains que leur travaux débouchent sur quelque chose d’exploitable.
Néanmoins, cela retrace l’état d’esprit de l’époque (second partie du 19e siècle) où des scientifiques se posaient la question de ces noms identiques d’Aleth et Rennes en Bretagne et Languedoc.
Henri BOUDET finit par le nom de « CONDATE » qui fut utilisé pour nommé 3 villes :
- Rennes en bretagne
- Une ville dans la tribu des Allobroges
- Une ville chez les Santones
Henri BOUDET, ces 3 villes portaient les mêmes sciences, les mêmes vérités et les mêmes traditions.
Condate est un nom bateau (jeu de mots !) de ville établie au confluent de deux fleuves. Henri BOUDET nous donne « Rennes » qui s’appelait Condate Riedonum. Rennes est au confluent des fleuves Vilaine et Ille.
La ville des Allobroges est Seyssel. La ville est coupée en deux par le Rhône. Une partie dans l’ain et une partie en haute Savoie. Administrativement, ce sont deux villes distinctes. La commune de l’Ain est au confluent du Rhône et de Fier.
La commune de Haute-Savoie est au confluent du Rhône et Les Usses. La ville des Santones est Merpins. Elle fait partie de la banlieue de Cognac en Charente. Elle est au confluent des fleuves Charente et Né (ou Antenne).
Les 3 villes sont donc :
- Rennes (Condate Riedonum) au confluent de la Vilaine et de l’ Ille
- Seyssel (Condate) au confluent du Rhône et du Fier (Ain) ou du Rhône et Les Usses (Haute-Savoie)
- Merpins (Condate) au confluent de la Charente et du Né (ou Antenne)
Pour Rennes :
Rennes : les vestiges archéologiques ont permis d’identifier une vie artisanale notamment en métallurgie et en céramique. Le site internet frcitadelle, nous donne des informations intéressantes sur l’histoire du blason de la ville de Rennes. Le blason actuel est : « Palé d’argent et de sable de six pièces, au chef d’argent chargé de cinq mouchetures d’hermine de sable. »
Les armoiries de Rennes, officielles depuis 1697 grâce à Gilles de Languedoc, un greffier de la commune, n’ont pratiquement pas changé au fil des siècles. Un seul changement notable mais temporaire a eu lieu lors de l’arrivée de Napoléon Ier au pouvoir : En 1811, Rennes fut désignée comme une « bonne ville », c’est-à-dire une ville dont les maires avaient le droit et le devoir d’assister à la prestation de serment de l’Empereur. À cette occasion, les armoiries de la ville furent modifiées pour adopter celles caractéristiques des bonnes villes de l’Empire : « d’hermine, au chef de gueules chargé de trois abeilles d’or ». Les mouchetures d’hermine remplacèrent les pals, et les abeilles d’or, symboles de Napoléon, prirent la place laissée par les mouchetures.
Cependant, ce changement ne dura pas longtemps. À la Restauration en 1815, Rennes reprit ses armoiries historiques, telles qu’elles avaient été établies en 1697. Ainsi, malgré cette parenthèse napoléonienne, les armoiries de Rennes sont restées fidèles à leur forme originelle à travers les siècles.
Je trouve la coïncidence trop croustillante pour ne pas relever que c’est un certain Gilles de Languedoc qui inventa les armoireries de Rennes (en Bretagne) ! Il répertoria, classa, organisa les premières archives de Rennes.
Pour Merpins :
Merpins était un site de fabrication de tuiles à l’époque romaine. Je vous laisse consulter les pages citées en lien pour avoir plus d’informations. Nous ne sommes pas certain que c’est bien Merpins qui est le « Condate » historique. Le confluent de la Charente et du Né se trouve au lieu-dit « Le bourg » de Merpins.
Pour Seyssel :
Pour Seyssel, sa page wikipdia nous donne les informations suivantes : « Ce lieu fut habité dès la plus haute antiquité. Le promontoire sur lequel la partie de Savoie est assise, flanqué au nord et au sud de plaines noyées, en faisait une position naturellement fortifiée et facilement défendable. Au Néolithique, vers 3500 av. J.-C., les premiers agriculteurs s’implantent dans la région. Ils laissent derrière eux leurs outils, comme le poignard en silex de la station de Vens. À l’époque romaine, la compagnie des nautes de Ludgunum aménage le port de Condate. Ce site gallo-romain succède à un oppidum gaulois, situé à Vens, dominant la plaine d’Albigny. A partir du Ier siècle de notre ère, grâce à sa situation au carrefour fluvial-routier lié au commerce et à la batellerie, il a connu un important développement. La table de Peutinger signale le port de Condate comme une étape importante à 2 kilomètres au confluent du Fier et du Rhône. Elle est située à XXX miles (44,4 km) de Genève au nord et XXI miles (31,1 km) d’« Etanna » (Yenne) au sud. Certains auteurs proposent « Conjeon » comme étant le site antique de Condate. La ville possédait des temples, des thermes, des édifices publics, ainsi que le prouvent les inscriptions, monnaies, médailles, tombeaux et autres vestiges qu’on y a trouvés (inscriptions sur une pierre votive encastrée dans le mur de l’église et sur un bloc de calcaire servant de socle à une croix de pierre, le tout rive gauche). »
En quoi ces 3 villes auraient pu porter les mêmes sciences, les mêmes vérités et les mêmes traditions ?
Comme dans toutes villes au confluent de deux fleuves, il y a le développement de commerces, de voies marchandes quelles soient navigables ou terrestres. Plus la ville se développe, plus des bâtissent de seigneurs, de culte et un village grandit. Je ne vois rien de particulier qui pourrait rattacher ces 3 villes. Aujourd’hui, les 3 villes ont des situations très diverses, entre Rennes qui est une grande capitale régionales, Seyssel qui a la particularité d’être coupée en deux avec une partie dans l’un et une partie en Haute-Savoie, elles sont deux communes distinctes et Merpins qui est un petit bourg peu peuplé à quelques kilomètres de cognac. Il existe des dizaines de villes en France qui se sont appelés « condate », pourquoi Henri BOUDET a-t-il choisit ces 3 villes ? Cela reste pour l’instant un mystère.
Si nous traçons sur la carte le triangle formé par ces 3 villes, on n’observe rien de particulier.
Distance : Rennes à Seyssel : 617,43 km
Distance : Seyssel à Merpins : 476,78 km
Distance : Merpins à Rennes : 289,46 km
Distance : Merpins à Rennes-les-bains : 371,61 km
Distance : Rennes-les-bains à Seyssel : 438,14 km
Si nous tentons de trouver un jeu de mots purement phonétique. Nous avons 3 villes : Condate Riedonum des Riedones (Rennes), Condate Allobroges (Seyssel), Condate Santones (commune de Merpins entre Saintes et Sarrum)… Seyssel… Riedones..Santones… Ses selleries donnent 100 tonnes… ????
« Les 3 condates » peut se lire « l’étroit qu’on date ». Le seul rapprochement que je vois est entre « les mêmes traditions » et « Les Usses (la rivière) »…Traditions, us et coutumes. Mais je ne vois rien pour les mêmes sciences ni les mêmes vérités. Nous avons 3 confluents : Ille/Vilaine, Rhône/Fier (ou Rhône/Les Usses), Charente/Né (ou Charente/Antenne). Un jeu de mots, messieurs ?
Carte d’occupation de l’Armorique par les tribus gauloises avant l’arrivée des Romains :

Annales de Bretagne n° 72 (1965) – Les monnaies coriosolites et autres monnaies gauloises :

Pierres vers Rennes :
Mégalithes de carrefour de la grande lune :

La roche aux fées :

Mehir du cas rouge

Pierre des fées à Janzé :

La roche tremblante à Huelgoat :

Pierres vers Rennes-les-bains :
Fauteuil du diable :

Roche tremblante

Pierre du dé

Carte des voies romaines dans les Allobroges


Carte des Santones à l’époque Romaine

Triangle formé dont les sommets sont Rennes, Seyssel et Merpins :

Henri BOUDET fait de l’autosatisfaction. Il est content de sa démonstration qui ne démontre d’ailleurs rien. Il dit qu’il y a un corps savant fortement constitué. Comment faut-il comprendre le « fortement », en nombre ? Les personnes qui constituaient ce corps étaient nombreuses ? Ou ne parle-t-il que d’une seule entité ou d’une seule personne savante et fortement constituée ? Henri BOUDET nous dit « Ils étaient chargé de donner à chaque cité et à toutes les parties du terrain celtique des dénominations, justifiées par la vérité et l’exactitude des objets signifiés. »
Dans une lecture au premier degré, nous comprenons que les noms des cités et des terrains celtiques tirent leur justification de l’exactitude des objets (choses ou attributs) qui définissent ces lieux. Cette phrase me parait plus que mystérieuse. Ce n’est pas vouloir se faire des nœuds au cerveau mais la formulation me paraît tellement complexe pour dire quelque chose de simple. Si, nous creusons un peu plus, tout de suite cela devient plus obscure. Faut-il donc bien faire la différence entre les cités et toutes les parties du terrain celtique ? Houla ! Mais dans sa démonstration, il ne parle que de villes : Rennes/Rennes-les-bains, la cité d’Aleth/Aleth-les-bains, les 3 condates (Rennes, Seyssel, Merpins (vieux bourg)). Qu’entend-il par « les parties du terrain celtique » ? Il nous a dit que la cité d’Aleth en Bretagne et Aleth-les-bains ont de sols bien ressemblants. Fait-il référence à ces deux villes ou bien à autre chose ?
Henri BOUDET complète par « dénominations justifiées par la vérité et l’exactitude des objets signifiés. »
Houla ! Houla !
« La vérité et l’exactitude » !!!! « des objets signifiés » !!!! J’ai l’impression de faire de la philo.
« Démontre »… « un corps »… « chargé »… « parties »… « dénomination »… « justifier »… « objets sign(ifi)és »
De quoi nous parle-t-il ? D’une démonstrations en chimie, en mathématiques ?
Il nous parle de « dénomination » des lieux et terrains. Mais ces dénominations ne sont pas forcément des objets, il peuvent être un qualificatif (grand, fort, intelligent, bleu, rouge, vert) et cela va être souvent le cas. Ferdinand de Saussure, un des pères de la linguistique faisait bien la différence entre le signifié et le signifiant. L’article Wikipédia sur le signifié et le signifiant nous dit : « Le signifié et le signifiant sont les deux faces complémentaires du concept de signe linguistique. Le signifié désigne la représentation mentale du concept associé au signe, tandis que le signifiant désigne la représentation mentale de la forme et de l’aspect matériel du signe. »
L’article wikipédia sur l’exactitude et la précision nous donne comme définitions : « Dans la mesure d’un ensemble, l’exactitude et la précision décrivent l’erreur de mesure. L’exactitude est la proximité des mesures à la valeur vraie, tandis que la précision est la proximité des mesures les unes par rapport aux autres. » En dessous du mot « exactitude », plus précisément sous la syllabe « de » nous avons le chiffre « 2 » (« de » / « deux »). Faut-il comprendre que l’exactitude à utiliser est à 2 unités près ? Mais de quelle unité parle-t-on ? De distance ? mètre, centimètre, kilomètre ? De temps ? Une autre unité ?
De tout temps l’homme s’est posé la question de la classification des sciences. Edmond GOBLOT dans son livre sur la classification des sciences, nous dit : « Au XVIIe siècle, on trouve chez Francis Bacon (The Advancement of Learning, 1603) une partition du savoir associée à la métaphore de l’arbre aux ramifications successives plus ou moins développées puis, chez Descartes, la même figure avec ses racines (la métaphysique), un tronc (la physique), les branches principales (la médecine, la mécanique et la morale) – l’accent étant mis ici sur l’unité de la méthode ».
Avec ces mots « vérité, exactitude et signifié », j’ai l’impression qu’Henri BOUDET nous mène sur une analyse linguistique, technique ou scientifique qui va au-delà de la compréhension primaire que l’on peut avoir de ce paragraphe. Ce n’est qu’un ressenti. Je n’ai pas d’éléments factuels prouvant la chose.
Est-ce qu’il veut nous donner des indications de mesures relatives qui seraient à appliquer sur un plan de la Gaule/France (à considérer comme « le terrain celtique » mentionné) par rapport aux 3 condates (Rennes, Seyssel et Merpins) ? Et seul un corps (ou plutôt un esprit) savant fortement constitué peut comprendre les indications données ? A la fin du 19e siècle, la décomposition des sciences étaient toujours celle décrite par Descartes, où le tronc (le corps) correspondait à la physique. Est-ce que la science phyque peut nous donner la solution ? Je ne sais pas.
C’est la première fois depuis le début du livre où je bloque comme cela sur une phrase. Relisez-la. Relisez-la plusieurs fois. Qu’en pensez-vous ?
Pour moi, cette page est une énigme à résoudre.

Si nous nous arrêtons 2 minutes sur la constitution de cette page 24, certains éléments attirent notre attention.
Nous avons ce « 2 » un peu perdu en bas de la page « 24 ». Le « 24 » fait penser à une notion de temps comme les « 24 heures » d’un jour. Le « 2 » fait penser au dualisme des « deux Rennes », « deux extrémités », « deux localités », « deux pays ». Nous avons la répétition de « condate » pour identifier trois villes distinctes. « Condate » que l’on peut lire « qu’on date ». Nous avons « montre », « tique (tic) mais pas le « tac », « l’exactitude »… faut-il trouver une notion de temps ? Nous retrouvons « le corps savant » aux deux extrémités de la page. Henri BOUDET met le doigt sur ces similitude et sur cette distance que séparent ces villes. Tout cela est bien étrange.
« Curiosolites » + « Allobroges » + « Santones »
Si nous consultons la page Wikipédia des Allobroges, nous trouvons « le chant des allobroges » qui s’appelait à l’origine le chant de la liberté. On peut lire « Santones » : « chantonne ». Cela irait très bien avec un chant.
Liens
Les coriosolites : https://fr.wikipedia.org/wiki/Coriosolites
La cité d’Aleth : https://fr.wikipedia.org/wiki/Aleth
Saint-Servan : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-Servan
Aleth-les-bains : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alet-les-Bains
Rennes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Rennes
Rennes-les-bains : https://fr.wikipedia.org/wiki/Rennes-les-Bains
Saulnières (Ile-et-vilaine) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saulni%C3%A8res_(Ille-et-Vilaine)
La pierre des fées (Janzé) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_des_F%C3%A9es_(Janz%C3%A9)
La pierre des fées : https://pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/PA00090606
La roche aux fées : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Roche-aux-F%C3%A9es
Menhir du cas rouge : https://fr.wikipedia.org/wiki/Menhir_du_Cas_Rouge
Mégalithes du carrefour de la grande lune : https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9galithes_du_Carrefour_de_la_Grande_Lune
Pierre branlante : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_branlante
Roche tremblante de Huelgoat : https://fr.wikipedia.org/wiki/Roche_tremblante_de_Huelgoat
Raymond LIZOP : https://fr.wikipedia.org/wiki/Raymond_Lizop
Condate : https://fr.wikipedia.org/wiki/Condate
Condate Riedonum (Rennes) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Condate_Riedonum
Les allobroges : https://fr.wikipedia.org/wiki/Allobroges
Seyssel (Ain) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Seyssel_(Ain)
Seyssel (Haute-savoie) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Seyssel_(Haute-Savoie)
Histoire de Seyssel : https://seyssel74.com/index.php/tourisme-loisirs/informations-pratiques/histoire-patrimoine/#:~:text=La%20cit%C3%A9%20antique%20dispara%C3%AEt%20aux,administrateur%20gallo%2Dromain%2C%20Sextilius.
Merpins : https://fr.wikipedia.org/wiki/Merpins
Région de Cognac : Merpins : https://photocognac.com/a-voir-pres-de-cognac/merpins/
Blason de la ville de Rennes : https://frcitadelle.fr/blogs/blason-et-armoiries/le-blason-de-la-ville-de-rennes-histoire-et-signification?srsltid=AfmBOopzuF50AYN2Hvd-iDGYc74bBWsY4BI1A00ZF5WyyMgQSroqFDRb
Gilles de Languedoc : https://millefeuillesdebretagnesite.wordpress.com/2016/10/18/au-commencement-des-archives-de-rennes-etait-gilles-de-languedoc/
Signifié/signifiant : https://fr.wikipedia.org/wiki/Signifi%C3%A9_et_signifiant
Exactitude/Précision : https://fr.wikipedia.org/wiki/Exactitude_et_pr%C3%A9cision
Ferdinand de Saussure : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferdinand_de_Saussure
La classification des sciences : https://shs.cairn.info/revue-hermes-la-revue-2013-2-page-54?lang=fr
Edmond GOBLOT : https://fr.wikipedia.org/wiki/Edmond_Goblot



