La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 21 – Première partie

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Scaouda/Scald (skauld)

D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, « escaouda » signifie « échauder, passer à l’eau bouillante ». En regard de ce mot, nous avons « escambarlado » qui signifie « propos grivois ou obcène » et « escamoutur » qui signifie « escroc ». Ces proximités sont à relever. Trois autres verbes qui signifient « échauder », sont « chabuscla », « esbouïenta », « escraouma ». On est bien avancé ! « chabuscla » vient de « uscla » qui signifie « flamber, griller, brûler, roussir ». Il a y une expression « s’uscla las ussos » qui signifie « se griller les sourcils ». « usso » qui signifie « sourcil » est le mot qui suit « uscla ». Le mot « Sourcil » nous l’avons vu pour le mot « braou » qui en anglais « brow » signifie « sourcil ». « esbouïenta » vient de « bouïen » qui signifie « bouillant », « qui a beaucoup de vivacité », « colérique ». Le mot qui suit « bouIen » est « bouino » qui signifie « espèce bovine ». On se rapproche encore une foid de « braou » qui signifie « jeune taureau ». « escraouma » vient de « craoumo » qui signifie « crasse de la tête et des mains ; viscosité qui se forme sur l’épiderme de la viande de boucherie, qu’on lui enlèbe en la faisant bouillir à l’eau bouillante avant de la mettre à cuir dans la casserole, ou qui s’en va dans le pot-au-feu en l’écumant. » Le mot qui précède « craoumo » est « la craou » sui est « une vaste plaine entre Arles et Salon, toute couverte de cailloux blancs et ronds de la grosseur d’un œuf. » Il vient du celte « crai, craig, crag » qui signifient « pierre ».
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, je n’ai pas trouvé de mot ressemblant au mot « scaouda ». Les verbes qui signifient « échauder » sont « bouchona », « escolla », « escouma », « renchinchi ». « Escolla » signifie aussi « faire une mauvaise affaire ». Le mot qui suit « escouma » est « escoumenja » qui signifie « excommunier ».
Dans le dictionnaire Patois-Français du Tarn de l’abbé GARY, « escaouda » signifie « échauder ».
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « to scald » signifie effectivement « échauder ». « Scald » signifie « scalde, prêtre, poète des celtes », « teigne, rogne », « méchant, médiocre, mauvais ».
Henri BOUDET met l’accent sur la phonétique. Il faut donc trouver un autre mot possédant la même phonétique ou une phonétique très proche. Nous trouvons le verbe « to scold » qui signifie « gronder, réprimander sévèrement, quereller, injurier » ainsi que le mot « scold » qui signifie « une femme criarde, une xantippe, une grondeuse ». Une quoi ?! Une Xantippe ?? mais qu’est-ce que c’est que cet animal ?! Après quelques recherches, on apprend Xantippe vient de « Xanthippe » qui était la femme du philosophe grec Socrate. « Xanthippe » était une épouse très colérique. Une xantippe est donc une femme acariâtre.
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « échauder » se dit en anglais « to sclad ». Il n’y a pas ce mot en languedocien.
Dans le dictionnaire de l’argot moderne de Lucien RIGAUD, « échauder » signifie « surfaire » et « être échaudé » signifie « payer un objet au-dessus de sa valeur ».
En synthèse, pour le couple « Scaouda / Scald (skauld) » , nous retrouvons comme thématique :
- Faire une mauvaise affaire en tant qu’action
- Excommunier en tant qu’action
- Une femme (épouse) colérique en tant que personne
- Un prêtre en tant que personne
- Un scalde, un poète scandinave en tant que personnage
- Les sourcils (brow) en tant que partie du corps
- Un jeune taureau (braou) en tant qu’animal
Mouais, pas très convainquant tout cela ! Nous avons l’idée d’un prêtre qui va être excommunier pour avoir fait une mauvaise action, une femme colérique et un double lien avec « braou (brow) », « le jeune taureau » et le « sourcil ». Scald Law est un sommet écossais. C’est plus le sommet d’une grande colline qu’à proprement parlé d’une montagne.
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES
 
  
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER
 
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du Tarn » de l’abbé GARY

Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER

Extrait du « Dictionnaire de l’argot » de Lucien RIGAUD

Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Scoutos/Scout (skaout)

D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, « escoutos » signifie « écoutes, écouter aux portes ». Nous avons bien la notion d’espionnage mais il ne correspond pas exactement au mot « espion ». Il est à noter que le mot « escouta » est en regard du mot « escraouma » qui sifnigie « échauder » comme nous l’avons vu dans le mot précédent. Faut-il faire un lien entre les deux mots ? « espion » se dit « Espioun ». « espionner » se dit « nifla » ou nista ». De ces deux verbes découlent des personnes qui pratiques (des espions) que l’on nomme « niflard » et « nistejaïre ».
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, « escoutos » signifie « écoutes ». Il vient du verbe « escouta » qui signifie « écouter ». « Escouta » signifie aussi « peloter, mettre du fil en pelotte ». « Escoussou » est « un fléau pour battre le blé ». « Escoutela » signifie « tuer à coups de couteau ». Il faut se demander si « peloter » signifie « mettre du fil dans une pelotte » ou « toucher une femme sans son accord »
En patois de l’Aveyron, « espion » se dit « espioun ». « Fintayre » signifie « espion, qui épie, qui observe ». « Mouchard » signifie « mouchard, espion ». En regard du mot « mlouchard », nousa vons le mot « motoleno » qui signifie « Madeleine » sont la fête de Sainte-Madeleine est le 22 juillet. Le mot « motoleno » me faire penser à « laine de mouton ». « Nistossejayre » signifie aussi « espion ».
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « scout » désigne « un espion militaire ». Il désigne aussi « une sentinelle avancée, une vedette, un batteur d’estrade ». « To scout » signifie « espionner » et « se moquer de ». « Scoured [skaourde] » signifie « écuré ». Ce mot se rapproche phonétiquement de « scout » mais il reste encore un peu éloigné.
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « espion » se dit « spy » en anglais. « escouta » signifie « écouter » en languedocien.
Dans le dictionnaire de l’argot moderne de Lucien RIGAUD, « Battre l’antif » signifie « espionner, c’est-à-dire fréquenter l’église, faire un métier de cafard, de jésuite ». « Antif » signifie «aussi « chemin ». « Antif » est une altération de « antifle » qui signifie « église ». De multiples mots d’argot signifient « espion » : « cafard, cuisinier, fouineur, gobe-mouche, indicateur, mireur, raille, rousse, soussi, roussin, sondeur ». « Le sondeur » est aussi « un libertin qui regarde dans le décolleté des dames ».
En synthèse, pour le couple « Scoutos / Scout (skaout) » , nous retrouvons comme thématique :
- Battre le blé en tant qu’action
- Tuer à coups de couteau en tant qu’action
- Peloter en tant qu’action
- Un éclaireur en tant que personne
- Se moquer de quelqu’un en tant qu’action
- Un homme d’église en tant que personne
- Un écossais en tant que personnage
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES
 
  
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER
 
  
 
Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER

Extrait du « Dictionnaire de l’argot » de Lucien RIGAUD
 
  
 
Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Scruma/To scum

D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, « escuma » signifie « écumer ». Henri BOUDET a rajouter un « R » pour transformer « scuma » en « scruma ». Il faut trouver la raison de cet ajout. « scrum » signifie « un combat, un mêlée ».
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, « escuma » signifie « écumer ». « Cimoussa » signifie « écumer l’airée ». « Cimous » signifie « lisière, bord d’une étoffe ». « Simo » signifie « Cime, haut, sommet ». « Gruma » signifie aussi « écumer » et « grumo » signifie « écume ». Dans ce cas, on parle plus de l’écume que l’on peut avoir à la bouche. Entre « gruma » et « grumo », nous avons le mot « Grumel » qui signifie « grumeau » et aussi « peloton » avec un envoi au mot « escout ». Faut-il interpréter « peloton » comme « une petite pelotte de fils » ou « un groupe de soldats » ? Le mot précédent était « escoutos ». Faut-il faire un lien entre « escoutos » et « gruma » par le biais de l’écume ? « Escout » et « Grumel » signifient « peloton », « escout » est proche d’escoutos » et « gruma » qui est proche de « grumel » signifie « écumer ».
Dans le dictionnaire Patois-Français du Tarn de l’abbé GARY, « escuma » signifie « écumer ». « bruma » signifie aussi « écumer ». « brumat, brumato » signifié « bruiné, gâté par la bruine en parlant du blé ».
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « to scum » signifie effectivement écumer ». « Scum » signifie « écume, crasse, rebut ». Il est utilisé dans l’expression « the scum of minkind » qui signifie « le rebut du genre humain, la lie du peuple ». Le mot qui suit est « scrumber » qui signifie « la fiente du renard ».
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « écumer » est suivi par le mot « écurer » qui se dit « scura » en languedocien. Faut-il faire un lien entre les deux mots ?
Dans le dictionnaire de l’argot moderne de Lucien RIGAUD, « écume » signifie « étain ». « Ripa, ripeur » signifie « écumeur de la Seine, vagabond qui vole à bord des bateaux ».
En synthèse, pour le couple « Scruma / to Scum » , nous retrouvons comme thématique :
- Un combat en tant qu’action
- Une mêlée en tant que personnes participant à un combat
- Un peloton (pelotte de fils) en tant qu’objet
- Un peloton en tant que groupe se soldats
- Des blés gâtés en tant que céréales
- Rebut du genre humain en tant que personne
- Voler en tant qu’action
Encore une fois, rien n’est bien convainquant. Ce fameur « r » rajouté à « scuma » par Henri BOUDET doit être la clé, mais elle est complexe à comprendre. Qu’a voulut-il nous dire ? Sur les éléments trouvés, on reste sur du combat entre hommes, voler et des blés gâtés. Il y a certainement d’autres sens à trouver. En l’état, on ne peut que supposer un combat de groupes d’hommes dans le but de voler de l’argent, mais de l’argent qui a une origine « malsaine ». Ce n’est pas très convainquant. Surtout qu’il y a plusieurs niveaux d’interprétation à trouver.
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES

Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER

Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du Tarn » de l’abbé GARY

Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER

Extrait du « Dictionnaire de l’argot » de Lucien RIGAUD

Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Scura/Sot court (skaour)

Henri BOUDET fait de nouveau des sinnenes. Comment peut-on proposer « Sot cour » en équivalence phonétique avec « scura » ou « [skaour] » ?
D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, « nettoyer » se dite affectivement « scura ». « Cura » signifie aussi « curer » et aussi « curé » l’homme d’église. « Escura » signifie « écurer, nettoyer la vaisselle de cuivre ». « Cura »signifie « curer, nettoyer quelque chose de creux ». « Escuré » est un emplâtre posé sur la poitrine des malades pour leur enlever le mal. Dans la définition du mot « escaouda » que nous avons vu en fin de page 20, nous retrouvons le mot nettoyer : « échauder, faire blanchir la viande en y versant de l’eau bouillante pour la nettoyer d’un certain empâtement blanc qui se forme dessus quand on la laisse se mortifier ». Encore une fois, faut-il faire un lien entre le mot « escaouda » et le mot « escura » ? Il existe de nombreux autres verbes qui signifient « nettoyer » à proprement parler ou avec un sens plus large :
- Désémpégoumi : Nettoyer quelque chose de poisseux
- Desrouvia : Nettoyer, dérouiller, effacer la rouille
- Escouba : Balayer, nettoyer avec un balai
- Espousseta : Epusseter, ôter la poussière, nettoyer,
- Lava : lLaver, nettoyer avec de l’eau
- Mounda : Cribler, nettoyer le grain
- Muda : changer les langes d’un enfant, le nettoyer,
- Né, néto : Net, propre, sain, vient du latin Nitere, nettoyer (exemple du blé)
- Nétéja : Nettoyer (sens figuré), homme qui a tout perdu au jeu
- Penchina : Peigner, nettoyer
- Puda : Tailler la vigne, vient du latin putare, rendre pur, émonder, nettoyer
- Purgatori : Purgatoire, vient du latin purgare, purger, nettoyer, purifier
- Ramouna : Ramoner, nettoyer les tuyau d’une cheminée
- Raspaia : Balayer avec un balai usé, nettoyer
- Recuraje : Emonder, action de nettoyer un arbre
- Refresqua : Rafraichier, nettoyer en lavant
- Tourqua : Torcher, essuyer, nettoyer
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, « escura » signifie effectivement « nettoyer ». « S’escura » signifie « se délivrer de l’arrière-faix, en parlant des femelles des animaux , surtout des vaches ». Ce second sens de « Escura » est intéressant car nous allons retrouver « l’arrière-faix » dans d’autres couples de mots proposés par l’abbé BOUDET. L’arrière-faix est ce qui reste dans l’utérus de le femme ou de la femelle après la sortie du fœtus. L’arrière-faix correspond principalement au placenta. L’arrière-faix a aussi un sens plus théologique. Il correspond à « l’indésirable qui accompagne la naissance du monde » « cura » signifie « aussi « nettoyé ». « curat » signifie « curé » du verbe curer et « curé » le religieux. « curaille » signifie « arrière-faix ». « sout » signifie « porcherie ». « cura lo sout » signifie « nettoyer la porcherie ». Faut-il rapprocher l’expression « cura lo sout » avec « sot cour » qui est le pendant anglais proposé par Henri BOUDET ?
Dans le dictionnaire Patois-Français du Tarn de l’abbé GARY, « escura » comme « cura » signifient « nettoyer ».
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « to scour » signifier « nettoyer ». Pourquoi Henri BOUDET a-t-il déplacer des lettres pour transformer « to scour » en « sot cour » ? Quel jeu de mots faut-il trouver. « sot » et « cour » correspond à « un imbécile » ou à un « ivrogne, un homme abruti par la boisson » et à « une court de justice ou une cours du roi ». L’autre mot qui contient la phonème [skaour], c’est le mot « offscouring » qui signifie « ordure, saleté, rebus ». Faut-il voir une référence à une personne ou bien le racrocher de « arrière-faix ». « Arrière-faix » que l’on pourrait rapprocher de l’insulte « résidu de fausse-couche ». J’ai l’impression que c’est l’idée.
En recherchant des mots phonétiquement proches de « scour » sur des sites anglophones, nous trouvons les mots « sore » et sour ». Je vous avouerais que je ne vois pas bien le rapport phonétique. Il est très très éloigné, mais bon, si les anglophones en voient un, je ne vais pas être plus royaliste qu’un anglophone. Et quand on cherche le mot « sore », au miracle, que trouvons-nous en regard du mot « sore » ? le mot « sot »… « sot cour » nous dit BOUDET ! « sore » signifie « ulcère, écorchure, douloureux, douloureusement. ». Nous trouvons aussi le mot « sorehon, sorn » qui signifie « droit d’entretien dû au seigneur par un tenancier ». Le mot « sour » signifie « acide, aigre. Le mot qui le suit est « source » qui signifie « endroit d’où sort un courant d’eau, une fontaine ».
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « escura » signifie « nettoyer, écurer » en languedocien et « écurie » en langue romane.
Dans le dictionnaire de l’argot moderne de Lucien RIGAUD, « nettoyer » signifie « battre, renverser à coups de poings ». « Se récurer » signifie « se purger ». « Une vadrouille » est « une prostituée de bas étage en allusion à la vadrouille qui est un chiffon à laine émanché au bout d’un bâton qui sert pour nettoyer l’intérieur d’un canot ». Cela peut aussi signifier « tuer ».
En synthèse, pour le couple « Scura / So cour (skaour) » , nous retrouvons comme thématique :
- Curé en tant que religieux catholique
- Arrière-faix, restant suite à un accouchement
- Arrière-faix, indésirable qui accompagne la naissance du monde
- Se purger en tant qu’action
- Le purgatoire en tant que lieu où l’on se purifie de ses péchés avant d’accéder au paradis
- Ordure en tant que chose ou personne
- Prostituée en tant que personne
On commence à rentrer dans une thématique bien étranger quand on sait que l’auteur est un religieux. Nous avons : un curé, une prostituée, un arrière-faix (un avortement ou un rejeton), le purgatoire. Faut-il comprendre qu’un curé aurait eu une raltion charnelle avec une femme (une prostituée ou vue comme telle) et avec laquelle il aurait eu un enfant. Acte qui doit être pardonné et nécessite une purification au purgatoire ? S’il faut raconter une histoire avec les mots autentifiés, je vois bien une histoire comme celle-ci mais cela reste de la pure divagation. Nous n’avons rien de tangible.
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES
 
  
  
  
  
  
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER
 
  
  
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du Tarn » de l’abbé GARY

Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER
 
  
 
Extrait du « Dictionnaire de l’argot » de Lucien RIGAUD

Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS
 
 
Partie analysée : Page 21 : Tableau : Seït/to Sit

D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, « d’assetous » signifie « assis sur son séant ». Je n’ai pas trouvé le mot « seït » dans le dictionnaire. Comme l’obsession d’Henri BOUDET toune autour des rochers, des montagnes. On peut rapprocher le mot « assis » à « assises ». Dans la définition du mot « Angle », nous avons l’expression « angle de ro » qui signifie « couches et veines de terre végétale qui se trouvent dans les diverses assises d’un rocher. « Angles » signifie « anglais » et « créancier fâcheur, importun ».
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, « siech » signifie « assis » et « isso » signifie « une assise ». Nous sommes loin du mot « seït ».
Dans le dictionnaire Patois-Français du Tarn de l’abbé GARY, « s’asseoir » se dit « sé séiré ».
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « to sit » signifie effectivement « s’asseoir ». Il signifie aussi « monter à cheval, placer sur, régner, est situé ». « Sitting » correspond « à la posture de celui qui est assis », « l’action de couver », « attitude de celui qui se fait peindre », « chaque espace de temps consacré à un dessinateur, à un peintre », « durée d’une assemblée », « ce qui se fait durant un temps non interrompu », « audience ».
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « s’asseoir » en languedocien se dit « asséta, s’asséta, s’assétia ».
Dans le dictionnaire de l’argot moderne de Lucien RIGAUD, la selon expression qui utilise le mot « assis » ou le verbe « asseoir » est « allez vous asseoir » qui signifie « laissez-moi tranquille ».
En synthèse, pour le couple « Seït / to Sit » , nous retrouvons comme thématique :
- Assises en tant que rangée de pierres
- Présider en tant qu’action
- Assiéger une ville en tant qu’action
- Monter à cheval en tant qu’action
- Régner en tant qu’action
- Sursis en tant que décision de justice
Je suis bredouille ! Je ne vois aucun sens, ni aucun rapport avec d’autres éléments ou mots. La clé est dans ce « seït » proposé par Henri BOUDET. Sa seule utilisation est trouvée dans le mot « subreseit / subre-seit » qui signifie « sursis ». A la rigueur « Assises » et « sursis » peuvent aller ensemble, mais je ne suis pas convaincu du tout moi-même.
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES

Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER

Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du Tarn » de l’abbé GARY

Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER

Extrait du « Dictionnaire de l’argot » de Lucien RIGAUD

Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Sembla/to Semble

D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, « sembla » signifie effectivement « sembler, ressembler ». Il est dérivé du latin « simulare ». Néanmoins Maximin D’HOMBRES indiques que « sembler et ressembler ont une signification tout différente » sans pour autant préciser cette différence. En regard au mot « sembla », nous trouvons les mots « Ségne » et « Ségnou » qui signifient « Seigneur ». « Tené » est le seul autre verbe qui signifie « ressembler ». Il signifie aussi « tenir, être ferme ; être lié, attaché, collé ». « Pareisse » est le seul autre verbe qui signifie « sembler ». Il signifie aussi « paraitre, se faire voir, se montrer, avoir l’air, l’apparence ».
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, « sembla » et « ressembla » signifient « ressembler ». « Retayre » signifie aussi « ressembler ». Il a d’autres sens comme « retirer, reprocher ; comme jeter à la figure ». « Robertat » signifie « ressembler ». Le mot suivant « Rebertut » signifie « noueux, dur, difficile à fendre en parlant du bois ».
Dans le dictionnaire Patois-Français du Tarn de l’abbé GARY, « ressembler » se dit « abé d’al mal dé ». Les autres formes d’utilisation du mot « mal » est :
- « Se trouve mal » qui signifie « s’évanouir »
- « Sé fa mal » qui signifie « se blesser »
- « Sé saoupé mal » qui signifie « se piquer, être fâché »
- « Tomba d’al mal » qui signifie « tomber du mal caduc, avoir des attaques d’épilepsie ».
La formule qui signifie « ressembler » : « abé d’al mal dé » laisse songeur. On a l’impression qu’il ferait référence à « un abbé du mal ». Je reste circonspect mais il ne faut pas se mettre des limites morales dans cette recherche.
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « To semble » signifie effectivement « ressembler à ». Il existe d’autres verbes qui signifient « ressembler » ou « ressembler à » :
- « To approach » signifie « ressembler »
- « To counterfeit » signie « ressembler à ». « Counterfeit » signifie « imposteur, fourbe, contrefait, faux ».
- « To express » signifie « ressembler à ». Il signifie aussi « exprimer, réprésenter, désigner ». « Express » signifie « exprès, précis, clair, courrier ».
- « To feature » signifie « ressembler en traits (du visage) ».
- « To look » signifie ressembler ». Il possède aussi de nombreuses autres significations “regarder, vois, fixer du regard, prendre garde, avoir soin, etc. ».
- « To personnate » qignifie aussi « ressembler à ». Il a comme autres sens « représenter un personnage, jouer un rôle ».
- « To show » signifie aussi « ressembler ». Il possède d’autres sens : « montrer, faire voir, prouver, démontrer, avoir l’air, paraître, etc. »
- « To take after » signifie aussi « ressembler »
A part « to counterfeit », il n’y a pas de sens multiples qui attire mon attention. Parmi les mots qui se rapprochent phonétiquement de « semble », nous avons les mots « sample » et « symbol » mais ils ne débouchent sur aucune piste. Dans la partie « français-anglais » du dictionnaire en regard du mot « ressembler », nous avons le mot « ressusciter ».
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « ressembler » se dit bien « sembla » en languedocien mais « to ressemble » en anglais. Le mot qui suit le mot « ressembler » est le mot « résurrection ».
En synthèse, pour le couple « Sembla / To semble » , nous retrouvons comme thématique :
- Seigneur en tant que personnage religieux
- Noeux, difficile à fendre en tant que qualité du bois
- Abbé du mal en tant que personnage
- Imposteur, fourbe en tant que personnage
- Contrefait, faux en tant que caractéristique d’un objet
- Avoir les mêmes traits du visage en tant qu’attribut physique
- Résurrection en tant qu’action divine
Nous sommes dans une thématique qui semble être proche de théories anti-cléricales. Un assemblage pourrait être : la résurrection du seigneur, un importeur avec les mêmes traits de visage, un abbé du mal. Waouh ! Que dire…
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES
 
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER

Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du Tarn » de l’abbé GARY

Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER
 
  
  
  
 
Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Senshorno/Sense + horn

D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, nous n’avons pas trouvé de près ou de loin un mot qui se rapproche de « senshorno ».
« Avisamen » signifie « prudence, prévoyance, intelligence ». Au regard du mot « avisamen » , nous avons le mot « avesque » qui signifie « évêque ».
« Banu » signifie « cornu, qui a ou qui porte des cornes ; un sot, un homme sans intelligence comme un hibou ». Le mot est dérivé de « bano ».
« Baou » signifie « niais, nigaud, badaud ». Le mot est dérivé du latin « balbus » qui signifie « bègue ».
« Bano » correspond « aux cornes que portent cerains animaux ». C’est aussi le figne des maris trompés. Maximim D’HOMBRES pense que ce mot dérive d’un mot celte car il ne dérive q’aucun mot grec ou latin connu.
« Bano » est aussi « Bannes, une commune de l’Ardèche, à la limite du département du Gard. »
« Bestieto, bestiolo » signifie « bestiole » et aussi « personne bornée, sans intelligence et sans instruction ». Nous retrouvons bien le « sans intelligenceé » et peut-on faire le rapprochement entre « bornée » et « horno ».
« Se dégatia » signifie « se disputer une chose, n’être jamais d’accord ; vivre en mauvaise intelligence avec quelqu’un qui est dans notre intimité, se quereller ». Il y a une référence au mot « se capigna » et leur lien possible à « ca et ga qui sont des synonymes pour signifier chat ». Nous avons vue le chat comme mot faisant partant des mots du tableau de camparaison.
« Démoun » qui signifie « démon » vient vient d’un mot grec qui signifie « intelligence ».
« Sen » signifie « sens, bon sens, intelligence ». « Sens » signifie aussi « Saint ». « Séné » signifie « sans, intelligence des petits enfants ».
« Toupi » signifie « Pot de terre à poignée », au sens figuré, il signifie « sot, niais, imbécile, dépourvu d’intelligence ».
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER,
« Bourricat » signifie « petit âne ». Au sens figuré, il signifie « enfant borné, sans intelligence ».
« Bourricou » signifie « anin ; âne de petite taille ».
« Esprit » signifie « esprit, intelligence ». « Lou Sent-Esprit » signifie « le Saint-Esprit ».
« Estocat » signifie « borné, sans intelligence ».
« Estufergue » signifie « inepte, sans intelligence ». Ce mot est composé de tufo et es partie privative, ce qui sifnigie donc qui manque de tête ».
« Eyme » signifie « espris, raison, sens, intelligence ». Il désigne «aussi « Maison de santé où l’on soigne les aliénés, les personnes sont la raison est troublée ».
« Souc » signifie « Souche, tronc d’arbre coupé, billot ». Au sens figuré, il signifie « souche, sot, qui n’a pas d’intelligence ».
« Souc » vien de « Souco » qui signifie « souche d’un arbre, cep ou pied de vigne, ruchère qui a déjà donné un ou plusieurs essims, premier membre d’une famille d’une branche généalogique ».
Dans le dictionnaire Patois-Français du Tarn de l’abbé GARY, « bouyssous » signifie « buisson, broussailles ». « Brousailles » signifie « épines, ronces ». Il y a la mention de l’expression « Les sots sont la broussaille du genre humain ».
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « sens » possède une multitude de sens « sens, intelligence, discernement, jugement, sentiment, opinion, acceptation, signification ».
« Horn » signifie « corne, cor, trompe »
« Hornpipe » signifie « cornemuse ».
« Shorn » signifie « privé, tondu, dépouillé »
« Acorn » qui signifie « gland, fruit du chêne »
« Bread-corn » et « Corn » qui signifient « blé »
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « sens » se dit « sén » en languedocien. intelligence, « sense » en anglais, « secel » qui signifie « intelligence en hébreu ».
« Ame » se dit « teem » en latin. Ce qui signifie « intelligence ».
« Ame » qui signifie « esprit, vie », ou « shéol » en hébreu qui signifie « mort, tombeau ».
Dans le dictionnaire de l’argot moderne de Lucien RIGAUD, « un fourneau » est un « imbécile ».
En espagnal « horno » signifie « four ». En latin « hornus » signifie « de l’année : durée d’une révolution de la terre autour du soleil ». Sur la site de commerce en ligne alibaba, nous trouvons le « sens-horno » qui est un « kilt ». Je ne sais pas par quelle erreur de traduction « le kilt » est devenu un « sens-horno ». Je pense qu’Henri BOUDET à la clé de cette erreur et il l’a utilisé comme jeu de mot.

Et puis, je suis tombé sur un article récent sur des découvertes archéalogique en Allemagne en 2023 qui remettaient en question l’apparition de l’homo sapiens en Europe. Et là, je tenais le magazine un peu de travers. Et visuellement, je fis le rapprochement entre « homo » et « horno » qui avec le « rn » qui peuvent former un « m ». Et puis en y pensant bien « sapiens » et « sens » sont proches. C’est le « api » du « sapiens » qui a été supprimé. Donc « sapiens » devient « sens ». « Homo » signifiant « homme » et « Sapiens » signifiant « intelligence » .
Nous avions donc « homo sapiens » = « homme + intelligence » = « homme avec intelligence » et « sens horno » = « homme sans intelligence ». Je pense que c’est un axe de recherche et une manipulation ou un jeu avec les mots qui ressemble à du Henri BOUDET. Sachant que dans LVLC de très larges extraits du livre « Lhomme primitif » de Louis Figuier sont repris, le terme « homo sapiens » prend tout son sens. Si nous considérons que le jeu de mots est bien entre « homo sapiens » et « sens horno », les lettres exclues sont « api ». Que signifie « api » ?
- Une pomme ( vient du grec Apios)
- Une abeille (Apis en latin)
- La divinité égyptienne, le bœuf Apis
- Ache, une plante (Apius ou Apium en latin)
L’ache des montagnes se nomme aussi la livèche, le céleri perpétuel, le céleri vivace, le céleri bâtard, ou arbre à Maggi. Faut-il y voir encore un clin d’œil au mot « axe » qui signifie « Hache » en anglais et à l’arbre des Druides où ils pratiquent leur magie (le chêne) ?
En synthèse, pour le couple « Senshorno / Sens Horn » , nous retrouvons comme thématique :
- Evêque en tant qu’homme d’église
- Banne en tant que lieu géographique
- Démon en tant que personnage biblique
- Mort en tant qu’état de l’homme
- Tombeau en tant que sépulture
- Révolution de la terre
- Kilt en tant qu’habit
- Homo sapiens en tant qu’homme intelligent
- Axe en tant que droite sur laquelle un sens a été défini
Pour paraphraser notre président Macron, je ne pense pas que ce soit l’un ou l’autre, mais je pense que c’est du tout à la fois. Il y a différents niveaux de lecture et de sens cachés.
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES
 
  
  
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER
 
  
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du Tarn » de l’abbé GARY

Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER
 
 
Extrait du « Dictionnaire de l’argot » de Lucien RIGAUD

Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Shakad/to Shake

D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, aucun mot ne correspond à la définition « mis en pièces ». Plusieurs verbes correspondent à la définition de « mettre en pièces » :
- « Bringo » qui signifie aussi « rosse, cheval maigre, femme maigne, déhanchée, mal batie »
- « Brisa » (« Briso » signifie « miette de pain »)
- « Engruna » dans la définition duquel nous avons « séparer les grains du raisin ou d’un épi de blé »
- « Espeça » qui signifie aussi « dépecer »
- « Espeïa » qui signifie aussi « écorcher, ôter la peau »
Le mot qui se rapproche le plus de « shakad » est « ensaqua » qui signifie « ensacher, mettre en sachets ». Dans la définition nous avons l’exemple « ensaque lou bla » qui signifie « mettre le blé en sac ». Il est aussi utilisé dans l’expression « c’est marché conclu ».
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, aucun mot ne correspond à la définition « mis en pièces ». Plusieurs verbes correspondent à la définition de « mettre en pièces » :
- « Despeça » qui signifie aussi « dépecer »
- « Escorpi » qui signifie aussi « chiqueter, étirer la laine, se peigner »
- « Escortoyra »
- « Espetorda » qui signifie aussi « écarteler »
- « Estoupi » qui signifie aussi « détordre un fil »
- « Estroussela »
- « Flouquejat » (« flouqua » signifie « blettir »)
Le mot qui se rapproche le plus de « shakad » est « ensaqua » qui signifie « enchacher, mettre en sachets ». Dans la définition nous avons l’exemple « mettre le blé en sac ».
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « to shake » signifie effectivement « tomber en pièces » mais ce n’est absolument pas le sens premier de ce verbe. « To shake signifie « secouer, remuer, agiter ». En regard du mot « shake » nous avons « shame » qui signifie « la honte ».
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, le verbe « déchirer » correspond à la définition « mettre en pièce sans se servir d’un instrument tranchant » ; en languedocien se dit « esquinsa ».
« Déchirure » se dit « esquis » en languedocien.
« Meule » a pour définition « pierre qui sert à moudre et à aiguiser ». Le verbe hébreu « moul » signifier « broyer, mettre en pièce ».
« Pièce » se dit « piesso » en languedocien. « Pasha » signifie « déchirer, mettre en pièces » en hébreu.
« Pillage » se dit « pillag » en hébreu. Il signifie « diviser, mettre en pièces ».
En synthèse, pour le couple « Shakad / to Shake » , nous retrouvons comme thématique :
- Mettre le blé en sachet en tant qu’action
- « Marché conclu » en tant qu’expression
- Meule, pierre à moudre ou à aiguiser en tant qu’objet
- Rosse (cheval maigre) en tant qu’animal
- Vielle femme déhanchée en tant que personne
Nous n’avons pas trouvé de véritable jeu de mots dans ce couple « Shakad / to shake ». Le « marché conclu » qui utilise le mot « ensaqua » semble à première vue le plus logique. Lors d’un marché, on se sert la main (to shake the hand) et il y a un échange d’argent (on met des pièces dans le sac ». C’est tout ce que j’ai trouvé mais je ne suis pas bien convaincu. Il y a certainement bien d’autres sens cachés.
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES
 
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER
 
 
Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER

Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS
 
 
Partie analysée : Page 21 : Tableau : Shankad/Shanked

D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, « Desanqua, desanquado » signifie « déchanché » en non « shankad ». De toute évidence, c’est bien « desanquado » le mot en languedocien et Henri BOUDET l’a modifié pour donner « shankad » pour une bonne raison. Nous voyons qu’il a encore sorti le « k » du « key », de la « cla » qu’il faut suivre ou trouver. « Amaluga » est un verbe qui signifie signifie « déhancher ». « Bringo » signifie « se déhancher » mais aussi « mettre en pièce ». Nous avons déjà rencontré le mot « bringo » pour le mot précédent ; « shakad ». L’option du jeu du marabout (la dernière syllabe d’un mot est reprise par le mot suivant) me plait beaucoup mais je n’ai pas réussit à vérifier cette option. « bringo » signifie « rosse, cheval maigre, femme maigre, déhanchée, mal batie ». Le couple « trullo, amaigri / trull, perdue de mœurs » découle sur les mots « lapider » et « prostituée » ; la maigreur est associée à une femme aux mœurs légères, en d’autres termes à une prostituée. Visuellement « déhanchée » ressemble beaucoup à « débauchée » avec « h » transformé en « b » et « n » transformé en « u ». Les mots « prostituée » et « débauchée » peuvent avoir le même sens.
« Dringo-drango » est une phrase toute faire qui signifie « se balancer de droite à gauche, se dit surtout des personnes déhanchées ». « Dringo-drango » est une sorte d’adverbe pour esprimer, par imitation , un branlement de gauche à droite, pareil au brimbalement des cloches ».
A la vue de cette explication, j’imagine bien le « d » de « desanqua » qui est déhanché, qui est passé de gauche à droite : « d-esanqua » est devenu « esanqua-d (s-hankad) » suite au « dringo-drango » du « d ».
« Sé Despaoupa »signifie « se démettre, de disloquer, se luxer un membre ». Il est dérivé du latin « palpa ».
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER,
« Birobouolto » signifie « déhanché ». Il signifie aussi « Détour, contour, tournant d’un chemin » et « culbute ».
« Se demolouqua » signifie « se déhancher ».
« Derromat » signifie « émonder, éffeuillé, ereinté, déhanché ».
« Desentouyssat » signifie « déhanché, qui boite sensiblement d’une ou des deux hanches ».
« Eniouyat » signifie « déhanché, qui a une hanche démise ».
« Esporroncat » signifie « déhanché, éclopé, qui a les jambes écartées ».
« Gombie » signifie « Cagneux, qui a les chanches fléchies en dedans et trop rapprochées aux genoux ; qui a les jambes mal faites ; qui est mal fait, qui est déhanché et qui boite ».
« S’omoluga, s’amoluqua » signifient « se déhancher ».
« Onco, anco » signifie « hanche, fesse ».
« Tourat » signifie « éreinté, déhanché ». Il signifie aussi « scié à travers un tronc, une bille ». « Toura » (dans « t ») signifie « scier un tronc, casser » ».
Dans le dictionnaire Patois-Français de DUPLEICH, nous avons une description intéressante de la meule. Différentes pièces de la meules sont citées, dont la hanche. Faut-il faireun rapprochement entre toutes ces pièces les mots présentes par Henri BOUDET dans ces pages 18 à 21 de LVLC ? Peut-être bien. La piste reste à creuser.
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « shanked » signifie « ayant des jambes, un manche ». « Shank » signifie « jambe, ose de la jambe, partie allongée d’un instrument, la tige d’une clef ». En regard des mots « shank » et « shanked », nous avons le mot « shallow-brained » qui signifie « superficiel, frivole, doué de peu de bon sens ; sot imbécile ». C’est la définition du mot « senhorno » que nous avions vu un peu plus tôt dans la liste proposée par Henri BOUDET. « Legged » signifie « ayant des jambes ou des pieds ». « Leg » est « une jambe ou un pied ». « to make legs » signifie « faire un salut ». « Leg » en français est un don que l’on fait après notre décès. « Pontlevis » est soit « un pontlevis », soit « l’action d’un cheval qui s’élève sur ses jambes de derrière, qui se cabre ». La mot qui précède « pontlevis » est « Pontifican, partisan du pape ».
Dans la partie Français-anglais du dictionnaire, le mot « jambe » est traduit par « the shin bone » soit ‘l’os de devant ».
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « hanche » se dit « anco » en languedocien.
Dans le dictionnaire de l’argot moderne de Lucien RIGAUD, « tortiller des fesses » signifie « se déhancher en marchant ». « Tortiller » signifie aussi « manger, faire des révélation, déterminer une mort prompte ».
En synthèse, pour le couple « Shankad / Shanked » , nous retrouvons comme thématique :
- Détour d’un chemin en tant que tracé
- Balancier an tant qu’objet
- Cloche en tant qu’objet
- Un meuble à grain en tant qu’objet
- Un leg en tant qu’héritage
- Mort prompte en tant que fin de la vie
Je suis bien embêté car je n’ai rien trouvé en mot possiblement caché qui soit réellement convainquant.
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES

Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER
 
  
  
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français » de DUPLEICH

Extrait du « Dictionnaire Anglais-Français » de Percy SADLER
 
 
Extrait du « Dictionnaire de l’argot » de Lucien RIGAUD

Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Shépud/to Shape (chepe)

Le mot « shépud » me parait très bizarre. Il ne fait pas du tout languedocien. J’aurais plutôt vu un « espada » ou « despa… ».Nous renouons avec une écriture phonétique pour le mot anglais. Cela signifie probablement que le mot à trouver est un homonyme.
D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, je n’ai trouvé aucun mot qui ressemble à « shépud ». La seule fois où l’on trouve « mal ajusté » est dans la définition du mot « desbraia » qui signifie « oter la culotte ». Pour l’expression « es tout debraia » qui signifie « il est tout débraillé, mal ajusté ». « Braïo » signifie « culotte, braie ». « Adouba » signifie « accomoder, apprêter, assaisonner, tanner ». L’expression « L’an pas mâou adouba » signifie « on l’a bien ajusté ». Il vient du latin « adobare » qui signifie « ajuster, armer, préparer ».
« Ajusta » signifie « ajouter, joindre, ajuster, additionner, mettre quelquechose en plus »
« Aparia » signifie « égaliser, unir, ajuster ».
« Apouenta » signifie « pointer, ajuster vers un but ».
« Arenja » signifie « arranger, disposer, mettre en ordre, accompagner, ajuster, ranger ».
« Farda » signifie « habiller, équiper, parer, ajuster, faire enrager, frissonner ».
« Petassa » signifie «rapiécer ». Au sens figuré, il signifie « remettre en bon état, réparer, rajuster, arranger, rectifier »
« Rejougne » signifie « serrer, enfermer, ranger, mettre en place, soigner ». L’expression « Tenes aco bien rejoun » signifie « gardez cela avec soin, telez-le bien soigneusement serré, ajusté, rangé. ».
Entre « ôter la culotte » et « pétassa », faut-il voir qu’Henri BOUDET avait l’esprit dans la culotte ?
« Ocona » signifie « Ajuster, capucher en joue ».
« Ocotza » signifie « Parer, orner, ajuster, attifer ».
« Ocozat, ado » signifie « ajusté ».
« Ofusta » signifie « viser, ajuster, viser en joue »
« Osega » signifie « châtrer, couper un animal » dans le sens premier et « arranger, mettre en order, ajuster, agencer » dans le sens second. « Osegado » est un espace de paturage.
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, La seule fois où l’on trouve « mal ajusté » est dans la définition du mot « forgat » qui signifie « forger ». l’expression « mal forgat » signifie « mal fagoté, dont les habits sont mal ajustés ».
Dans le dictionnaire Patois-Français du Tarn de l’abbé GARY, « ajuter » peut se dire « Afusta, Guinda » dans le sens « viser, ajuster pour tirer ». On retrouver le terne « ajuster » dans la définition du mot « cilho » qui signifie « sourcil ». Encore le sourcil ! Ce n’est pas la première fois qu’on le retrouve
Dans le dictionnaire Patois-Français de DUPLEICH, « ajuster » peut se dire « Ahige, Ajusta, Escada ». Il n’y a pas vraisment de second sens à ces verbes.
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « to shape » signifie « former, donner une forme, ajuster ». « to misshape » signifie « donner une mauvaise forme, rendre difforme ». Phonétiquement [tchepe] est celui qui se rapproche le plus de [chepe]. Chape [tchepe] signifie « attache, crampon] A noter que « Chape » précède le mot « Chapel », soit « chapelle » en français. Nous avons phonétiquement [chipe], soit « sheep » qui signifie « brebis, mouton ou peau de mouton ». Nous sommes tellement bercé avec les histoires mythologiques, comment ne pas penser à Jason et la toison d’or ? Mais ceci n’est pas très objectif. Ce point de vue est grandement influencé par le contexte de recherche qui n’est pas neutre. Il existe une multitude d’autres mots qui peuvent signifier « ajuster » : « to accord », « to adjust », « to aim », « to fashion », « to fay », « to fit », « to form », « to frame », « to regulate », « to set », « to size », « to square », « to swit », « to tally », « to trim ». Parmi tous ces mots, on peut retenir les monosyllabes et tout particulièrement « Fay » qui signifie « lutin, sorcière, foi », « form » qui signifie « cérémonie » et « gite d’un lièvre », « Suit » qui suit le mot « suicide », « tally » qui précède le mot « talmud ». On peut remarque sur « white-smith » signifie « ajusteur ». On connait beaucoup plus le « forgeron » qui se dit « blacksmith ». Faut-il trouver un jeu de mots entre « whitesmith » et « blacksmith » ? Si on s’arrête sur « mal ajusté » comme une définition de mots croisés, l »application en ligne Fsolver nous propose les mots suivants : « serré », « large », « redingote », « attifé », « réaligné ».
Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, pour le mot « ajuster » on retrouve les mots « attifer », « coin ou angle », « diriger », « former », « tacon, pièce de cuir ». On est bien avancé avec cela !
En argot anglais « pud » signifie « le zizi ». Faudrait-il interpréter le « she-pud » par « le zizi féminin » ?
Dans le dictionnaire de Percy Sadler, nous n’avons pas le mot « zizi » mais nous avons le mot « ziziphe » qui signifie « jujubier, l’arbre à jujubes ». Faut-il aller jusqu’au personnage « Sisyphe »de la mythologie grècque ? En synthèse, pour le couple « Shépud / to Shape (chepe) » , nous retrouvons comme thématique :
- Débrailler dans le sens « ôter la culotte » en tant qu’action
- Viser dans le but de tirer au fusilen tant qu’action
- Un carré en tant que forme géométrique
- Un carré d’un nombre, en mathématique
- Le sourcils en tant que partie de l’anatomie
- le sexe féminin en tant que partie de l’anatomie
- Le ziziphe nommé aussi jujubieren tant qu’arbre
- Sisyphe en tant que peronnage de la mythologie grecque
- La toison d’or comme objet mythologique
- Jason et la toison d’or comme peronnage de la mythologie grecque
Faut-il mettre en regard « Shépud / Sisyphe » et « to shape / Sheep / Jason et la toison d’or » ? D’un point de vue phonétique et thématique, c’est ce qui semble coller le mieux mais cela reste de la pure association de sons et d’idées totalement empirique. Cette méthode qui ne semble pas en être une peut-elle déboucher sur quelque chose ?
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES
 
  
  
 
Extrait du « Dictionnaire Patois-Français du département de l’Aveyron » de l’abbé VAYSSIER
 
 
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Extrait de « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS

Partie analysée : Page 21 : Tableau : Sigur/Secure (sikioure)
D’après le dictionnaire Languedocien-Français de Maximin D’HOMBRES, « sûr » se dit « segu » ou « seguro » en non pas « sigur ». Dans la page 605 du dictionnaire, un peu après le mot « segu » nous trouvons le mot « selo » qui signifie « selle » qui apporte la notion de « cheval » et « sûreté du cavalier ». En regard, de la colonne où nopus avons les mots « segu » et « selo », nous trouvons les mots « séda (pan) : pain de seigle », « sédo : soie », « sedous, sédouso : soyeux », « Segado : la moisson », « Segaïre, segaïro : moissonneur, coupeur ou scieur de blé ». Nous trouvons les notions de « soie » et « blé / moisson / moissonneur ». Ce sont des thématiques récurrentes. D’autres mots signifient sûr ou sûreté ou mentionne des notions de sûreté :
- « Assegura » qui signifie « rendre sûr »,
- « assuguranço » qui signifie « sûreté »,
- « fianço » qui signifie « confiance, sûreté, foi »,
- « gaje » qui qignifie « gage que l’on livre pour la sûreté d’une dette ». « Gaje » signifie aussi « geai, l’oiseau »
- « Mâou-fisa » qui signifie « qui n’est pas en sûreté » est en regarde du mot « Maourel » qui signifie « homme, maurel » dont on trouve des dérivés dans « roco-mauro » soit « roche-maure, roche-brune » et « roquemaure ». Il n’y a qu’un pas pour arriver à « Roco-negro »
- « Saouvagna » qui désigne la ville de « Salvignac » qui signifie « lieu de sûreté ». « Saouvagna » est bien entouré par « saouvadou » qui signifie « le sauveur du monde » et « Saouvaje » d’où est originaire l’abbé Sauvages, l’auteur du dictionnaire languedocien.
- « Poliço » qui signifie « police, qui assure la sûreté » et « polisson, enfant qui font des bêtises »
Dans le dictionnaire du Patois-Français du département de l’Aveyron d’Aimé VAYSSIER, « segur, seguro, sigur » signifie « sûr ». Nous avons une correspondance exacte. « Ségur » estle nom d’un village fortifié et ce nom est utilisé dans un proverbe disant qu’il vaut mieux être de Segur (ville fortifiée) que de Prades (ville sans défense).
Dans le dictionnaire Patois-Français du Tarn de l’abbé GARY, « sigur » signifie « sûrement ».
Dans le dictionnaire Patois-Français de DUPLEICH, ‘segu » signifie « sûr ».
Dans le dictionnaire Anglais-Français de Percy SADLER, « secure » signifie effectivement « sûr, en sûreté ». Les autres mot qui contiennent la partie de mot avec la phonétique [kioure] sont :
- « Cure » qui signifie « cure » comme une cure thermale. On pourrait le lire en « curé, l’homme d’église »
- « Obscur » qui signifie « obscure, ténèbres »
- « clare-obscure », la technique en peinture
Les mots se rapprochant phonétiquement, nous trouvons « sicker » sui signifie aussi « sûr, certain ». L’homophone de « sicker » est « seeker » sui signifie « chercheur ». Dans « Dieu, l’homme et la parole ou la langue primitive » du père J. AZAIS, « mettre en sûreté » est utilisé dans la définition du mot « sauver ». Le dérivé du mot « sûreté » en habreux a donné le nom de « Josué, fils de Noun ». En jouant sur les mots, « sigur », ju de droite à gauche donne « rugis » et « secure » lu des syllabes de droite à gauche donne « récuse ».
« sigur » ou « segur » me fait penser à la comtesse de Ségur, de son nom d’état civil Sophie Rostopchine qui naquit à Saint-Petersbourg. Une nouvelle fois nous retourons la ville de Saint-Petersbourg !
En synthèse, pour le couple « Sigur / Secure (sikioure) » , nous retrouvons comme thématique :
- Curé en tant que religieux catholique
- Claire-obscure en tant que technique de peinture
- Soyeux, travailleur de la soie en tant que personne
- Moisonneur ou scieur de blé en tant que personne
- Josué en tant que personnage biblique
- La comtesse de Ségur en tant que romancière
- Saint-Petersbourg en tant que ville
- Un chercheur en tant que personne
A ce niveau de recherche, il est difficile d’en extraire quelque chose de certain.
Extrait du « Dictionnaire Languedocien-Français » de Maximin D’HOMBRES
 
  
  
  
  
 
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Liens
Ville de Banne (ardèche) : https://www.ardeche-guide.com/banne
Ville de Bannes (marne) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bannes_(Marne)
Ville de Bannes (haute-marne) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bannes_(Haute-Marne)
Ville de Bannes (lot) : https://www.bannes-lot.fr/
Dictionnaire latin API : https://www.dicolatin.com/Latin/Lemme/0/API/index.html
Livèche ou Ache des montagnes : https://jardinage.lemonde.fr/dossier-916-liveche-levisticum-officinale.html
Calabazar : https://en.wikipedia.org/wiki/Calabazar
Gamache : https://fr.wiktionary.org/wiki/gamache
Gamaches : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gamaches
Gamaches en somme : https://www.gamaches.fr/presentation.php
Gamaches-en-vexin : https://www.gamaches-en-vexin.fr/
Le centurion Longin (longinus) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Longin_le_centurion
Omble : https://fr.wikipedia.org/wiki/Omble
Omble-chevalier : https://fr.wikipedia.org/wiki/Omble_chevalier
Ombre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ombre_commun
Oolithe : https://fr.wikipedia.org/wiki/Oolithe
Tarse : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tarse_(ville)
Paul de Tarse : https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_de_Tarse
Le tartare : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tartare_(mythologie)
Sparterie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sparterie
Severac-le-château : https://www.severacdaveyron.fr/decouvrir/histoire-et-patrimoine/severac-le-chateau/
Lygée : https://www.photos-neuch.net/Faune/Insectes/lygee.html
Gez : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gez
Gizy : https://www.gizy.fr/commune/histoire-de-la-commune
Unités de mesure anglosaxonnes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Unit%C3%A9s_de_mesure_anglo-saxonnes
Le boisseau : https://fr.wikipedia.org/wiki/Boisseau
L’aune : https://fr.wikipedia.org/wiki/Aune
Geai des chênes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Geai_des_ch%C3%AAnes
Huppe : https://fr.wikipedia.org/wiki/Huppe
Huppe fascié (oiseau) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Huppe_fasci%C3%A9e
Houppe dentelée / Les écossais de la Saint-Jean : https://www.ecossaisdesaintjean.org/article-la-houppe-dentellee-et-la-chaine-d-union-101549332.html
Puput : https://cocanha.net/puput/
Cochevis huppée : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cochevis_hupp%C3%A9
Thou : https://fr.wiktionary.org/wiki/thou
Ile d’Yeu : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_d%27Yeu
Fort de Pierre levée de l’île d’Yeu : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fort_de_Pierre-Lev%C3%A9e
Le vieux château de l’île d’Yeu : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vieux_Ch%C3%A2teau_(L%27%C3%8Ele-d%27Yeu)



