La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 126

Partie analysée : Page 126 – Titre :

Pour un peu nous resituer, nous sommes dans le chapitre IV qui se nomme « La famille de Japheth ». Ce chapitre est découpé en :
- I – Gomer et ses fils.
- II – Tubal et les ibères.
- III – Langue basque.
- IV – Les cantabres. – Les ibères – Les Kjoekken-moeddings du Danemark
Les premières réactions à la lecture de ce titre :
- Le titre est un titre à rallonge
- On bute sur la prononciation de « kjoekken-moeddings »
- On se demande bien à quoi correspond « kjoekken-moeddings » ? Un peuple du Danemark ?
- Pourquoi Henri Bouet mélange-t-il les cantabres et ibères qui sont des peuples de la péninsule ibérique avec les « kjoekken-moeddings » du Danemark. Quel est le rapport entre ces trois peuples ?
Graphiquement, on ne relève pas grand-chose.
L’accent grave sur le « È » de « IBÈRES » est correct d’un point de vue orthographe et il est identique aux précédentes écritures de ce mot. Néanmoins, cela rappelle le « È » de « NOÈ ».
On sent la présence d’un jeu de mots entre la première et la seconde ligne du titre sans pour autant en identifier un.
Pour « LES KJOEKKEN-MOEDDINGS DU DANEMARK. », on relève :
- Une présence importante de « K » et de « D ». On a 4 fois la lettre « K » et 4 fois la lettre « D »
- Une similitude de construction des mots « KJOEKKEN » et « MOEDDINGS ». En inversant les lettres non communes, nous pouvons obtenir « MOEKKINGS » et « KJOEDDEN » ou bien encore « KJOEDDEN » et « MOEKKINGS ».
Cela ne veut pas dire grand-chose.
On pourrait voir « KINGS (rois) » et « EDDEN (jardin d’eden) ».
On pourrait voir aussi « KYUDEN » qui signifie « Palais impérial » en japonais et qui est d’ailleurs le nom du palais impérial à Tokyo construit en 1868.
Nous abandonnons les jeux graphiques et phonétiques pour nous pencher sur les peuples cités.
A la fin du chapitre sur Tubal et les Ibères, les cantabres et les ibères étaient déjà mentionnés.
Les Cantabres ou Lapurdes étaient composés de 11 peuples distincts. Ils étaient tout comme leurs voisins dans la péninsule ibérique. Ils étaient identifié comme un peuple celte.
L’origine du mot Cantabres est assez intéressante pour Henri Boudet qui est fan de pierres et de cercles. Les origines possibles du mot « Cantabre » sont :
- Du pré-latin « kanto » qui signifie « pierre»
- Du gallicien médiéval « Canto » qui signifie « bloc de pierre»
- Du celtique « canto » qui signifie « cercle de la roue», du breton « kant » qui signifie « cercle »
Le peuple des Cantabres est mentionné lors des guerres d’Hispanie menées par Rome. Les cantabres ne se battaient pas seuls contre les soldats romains. Ils étaient considérés comme des mercenaires (à la vision romaine) et ils se battaient aux côtés des ennemis de Romme. Par exemple, ils étaient aux côté d’Hannibal lors de la seconde guerre punique.
Concernant les ibères, comme nous l’avons déjà vu, il existe deux points de vue sur ce peuple. Il existait les Ibères, peuple de la péninsule ibérique ou l’Ibérie, soit l’actuelle Espagne. Et il existait un peuple à l’est de la mer Noire (Pont-Euxin) sur l’actuel territoire de la Géorgie qui s’appelait « Ibérie ».
Certains historiens faisaient une relation de filiation entre ces deux peuples mais ils n’en avaient pas. Nous verrons si Henri Boudet veut nous parler des ibères d’Hispanie (Espagne) ou bien des Ibères d’Ibérie (Géorgie).
« kjøkken » signifie « cuisine » en norvégien. IKEA possède dans son catalogue des éléments de cuisine qui se nomment « kjøkken ».
« kjøkkenmødding » signifie « femme de ménage » en norvégien.
« Kjökkenmödding » est un nom qui vient du danois « kjökken » qui signifie « cuisine », et « modding » qui signifie « amas de détritus ». Il s’agit d’un amas de débris culinaires et ménagers (essentiellement formés de coquillages) de populations mésolithiques et néolithiques, de la Baltique, de l’Écosse, de France, du Portugal, d’Amérique du Sud et d’Afrique.
Ce sont les danois qui ont identifié les premiers ces amas de coquillages et le nom danois est resté en usage mais les archéologues et anthropologues ont retrouvé des amas de coquilliers un peu partout dans le monde.
C’est en 1848 que la Société royale des sciences du Danemark nomme une commission pour étudier les amas de coquilliers. Cette commission détermine que toutes les coquilles proviennent de coquillages comestibles mélangés avec des espèces (poissons, oiseaux, mammifères) vivant dans différents habitats.
Quels liens va établir Henri Boudet entre les cantabres, les ibères et les peuples néolithiliques à l’origine des « Kjökkenmöddings » ?
Cantabrie lors des guerres cantabres (-29 à -19 avant J-C)

Ibérie, IIIe siècle avant J-C :
En vert, le territoire des aquitains ou proto-basques

Carte de l’empire romain
Nous voyons le royaume d’Ibérie sur les bords du Pont-Euxin (Mer noire actuelle)

Le royaume d’Ibérie orientale est voisine du royaume de Colchide

Exemple d’un amas de coquillier en Argentine

Partie analysée : Page 126 – Premier paragraphe :

Pour un peu expliquer ce commentaire d’Henri Boudet ; au prenons en référence les pages 109 et 110. Dans ces deux pages, Tharsis est décrit comme le fils de Javan, neveu de Tubal, petit-fils de Japhet. Tharsis et Tubal marins aguerris ont traversé la méditerranée pour s’implanter en Ibérie (Espagne) au sud de la Gaule. Henri Boudet nous dit que leur installation fut aisée car les Celtes traversant l’Europe par voie terrestre en longeant le Danube mirent beaucoup plus de temps qu’eux pour arriver ne Ibérie. C’est ainsi qu’Henri Boudet dit que les basques peuvent dire à raison que ce sont les vraies descendants des Ibères dont les traditions et la langue reçus en héritage.
Les Ibères aux origines bibliques étaient donc descendants de Tharsis et Tubal. Arrivés en Hispanie par les mers bien avant les celtes d’Europe centrale, ils ont fait leur l’Hispanie. Lors que les Ibères et les Celtes arrivés par le Danube se rencontrèrent dans le sud de la Gaule, des guerres éclatèrent entre les deux parties.
C’est ainsi que les celtes nommèrent les Ibères, les Cantabres.
En page 112, avant la parenthèse Basque, Henri Boudet nous disait que ce peuples étaient nommés par les celtes : « Cantabres, Gascons, Vardulles, Ibères ».
Mouais…
Les Cantabres sont identifiés aujourd’hui comme un peuple celte alors que les basques qui sont présentés comme les descendants des ibères ne sont pas celtes.
D’après la Bible et la table des peuples, Celtes comme Ibères sont tous descendants de Japhet.
Ici, Henri Boudet veut opposer Celtes et Ibères, ou plutôt Cantabres en l’occurrence.
C’est ainsi que les Celtes nommèrent les Ibères, les Cantabres qu’Henri Boudet décompose en :
- « to cant » qui signifie « parler un certain jargon »
- « abroad (abraud) » qui signifie « à l’extérieur »
Selon le dictionnaire « Anglais-Français de Percy Sadler, nous trouvons les définitions suivantes :
- « cant » signifie « argot, jargon particulier des filous, langage mystique des faux-dévots, hypocrisie »
- « to cant » signifie « parler un certain jargon, affecter de certaines manières hypocrites »
- « can’t » signifie « abrégé de can not »
- « cant » signifie « (arch) pan coupé »
- « cant » signifie « oblique, dévoyé, à pan coupé »
- « cant-timber » signifie « (mar.) couple dévoyé »
- « cant » signifie « tourner, renverser »
- « to decant » signifie « transvaser, (chim.) décanter »
- « abroad » signifie « dehors, en dehors, à l’étranger »
- « abrood » signifie « en train de couver»
- « to go abroad » signifie « se répandre, devenir public »
Dans la partie Français-Anglais du dictionnaire, nous retrouvons les mots suivants :
- « dévoyé» se traduit en anglais par « (carp) oblique, cant, out of true »
- « papelard » se traduit en anglais par « a hypocrite, a canter »
- « papelarder » se traduit en anglais par « to play the hypocrite, to cant »
- « papelardise » se traduit en anglais par « cant, hypocrisy »
- « jargon » se traduit en anglais par « jargon, gibberish, gabble, cant »
- « toucan » se traduit en anglais par « toucan, a bird with an immense beak, a southern constellation »
- « au-dedans et au dehors » se traduit en anglais par « at home and abroad »
- « à l’extérieur » se traduit en anglais par « externally, abroad »
- « couvée » se traduit en anglais par « all the eggs on which a bird is sitting, a brood, a covey, a set, a race »
- « jument poulinière » se traduit en anglais par « a brood mare »
Henri Boudet, en ce début de chapitre, dit ouvertement qu’il utilise un jargon, et pas n’importe lequel : le jargon des filous, c’est-à-dire de l’argot. Cela ne peut pas être plus clair que cela !
Le toucan nous interpelle. Nous connaissions l’oiseau mais pas la constellation du sud. On peut donc voir dans « le toucan » une constellation.
Nous connaissons Henri Boudet féru d’archéologie, de botanique, de phytothérapie et d’astronomie. C’est pour cela que ce toucan attire notre attention.
Et puis le « abrood » qui signifie « en train de couver », thématique habituelle que nous trouvons depuis le début du livre : l’image d’une femme enceinte.
Ajouté au « dévoyé » dont le synonyme est « débauché », on complète le portrait de cette femme dévoyée, telle une prostituée, qui attend un enfant. C’est que l’on retrouve systématiquement depuis le début du livre. Henri Boude et nous le passe en boucle.
Tous ces éléments-là corroborent tout ce que nous avons interprété jusqu’à présent.
En chaque début de chapitre, il semble se lâcher pour que l’on ait une lecture plus facile de son message. Et plus on avance dans le chapitre, plus la lecture devient complexe.
- IV – Les cantabres. – Les ibères – Les Kjoekken-moeddings du Danemark
Le texte de ce paragraphe possède une autre lecture et un autre sens. Les mots qu’a choisis Henri Boudet ne sont pas anodins. L’utilisation des verbes « décorer » et « envelopper » ont une utilisation bien singulière.
- « Ils décorèrent les descendans de Tubal au nom de Cantabres »
- « enveloppant ainsi sans une expression parfaite le langage fort curieux… »
Encore une fois, bien que n’ayons pas les clés de lecture, nous pressentons un texte salace.
- Le « descendans » signale la transformation d’un « D » en « R » ou inversement. Le « R » étant un « D » avec deux dents. « Tubal » qui devient « Trubal ou Trou de balle » avec ce « R »
- Le « Ibères » et « Cantabres » qui devient « Antabères » et « Chibres »
- La césure de « sur-prendre » nous laisse « prendre »
- « de nom cantabres » qui devient « de mon chibre »
- « n’en point saisir le sens » qui devient « le plaisir des sens »
- « sans une expression parfaite le langage » devient « son sexe d’une pression parfaite de la langue »
- La « péninsule hispanique » : une pine qui sert à niquer »
Première option :
La langue des ibères était nature à prendre vivement les quettes : aussi tout étonnés le point de plaisir des sens, ils défoncèrent les trous de bal de mon chibre.
Enveloppant ainsi d’une pression parfaite de la langue, fort furieux de ce peuple et son arrivée par ta mère dans la pine insulte en panique.
Seconde option :
Le gland des ibères était de nature à prendre vivement les culs : et aussi tout étonnés le point de plaisir des sens, ils dévorèrent les trous de bal de mon chibre.
Enveloppant ainsi d’une pression parfaite, le gland fort furieux de ce peuple et son arrivée par ta mère dans la pine insulte en panique.
Nous ne savons pas si cet exercice de déformation phonétique porte un nom. Ce n’est pas une contrepèterie. Ce n’est pas non plus la langue des oiseaux. C’est de la déformation et mélange de sons dans tous les sens et sans trop de règle, ni méthode. C’est purement fantaisiste et aléatoire. Si on arrivait à maitrise cette langue, on pourrait découvrir bien des propos cachés par Henri Boudet bien au-delà de simples textes salaces.
Partie analysée : Page 126 – Deuxième paragraphe :

Nous remarquons de suite l’absence de l’accent sur le « e » de « Ibères » alors qu’il est bien présent quand « IBÈRES » est en majuscules, ici il est absent.
Nous remarquons aussi les espaces importants entre les mots de le première ligne alors que le « de » de début de seconde ligne pouvait amplement rentrer à la fin de la première ligne.
Nous retrouvons ces découpes de mots volontaires de la part d’Henri Boudet.
Il fait un rapprochement entre le peuple « Ibères » vivant sur les bords du Pont-Euxin (Mer noire) sur l’actuelle Géorgie et les « Ibères » de la péninsule hispanique.
Pour Henri Boudet ce sont bien les Ibères de la mer noire qui ont émigrés en Espagne et ont pris comme habitat les montagnes de Pyrénées pour se rappeler de leurs coutumes et habitudes originelles. Ils ne voulaient pas changer de mode de vie et la région pyrénéenne a été pris comme « point central ».
La notion de point central semble avoir son importance.
Si on prend l’Ibérie, les Pyrénées ne sont pas du tout le point central ! Des basques : oui : Mais des Ibères : Non ! Même si on ne prend que les Ibères, les Vascons, les Vardules et Cantabres ; si on ne se limite qu’à ces peuples, ont été plus le littoral de Golfe de Gascogne que dans une région centrale Pyrénéenne.
La cordillère cantabrique au sud de Golfe de Gascogne peut éventuellement être considérée comme une extension des Pyrénées. Dans ce cas, on pourrait dire qu’effectivement les peuples cités habitaient dans les régions autour des Pyrénées et de la cordillère cantabrique.
Il continue en affirmant qu’en se dirigeant du côté nord, c’est-à-dire en Gaule, dans une Gaule avant l’arrivée des celtes, une Gaule peu peuplée où les fauves étaient présent en grand nombre.
Pourquoi utilise-t-il le terme « fauves » ? Les hommes préfèrent chasser le gibier aux fauves. D’ailleurs en Gaule, à cette époque, disons le 2ème ou 3ème siècles avant Jésus-Christ » quels types de fauve étaient présents dans le sud de la France ? Il n’y avait ni tigre, ni lion.
Je veux bien que l’on trouve des ours et des loups dans les Pyrénées, mais des fauves ?!
Faut-il comprendre cette partie de texte comme des indications géographiques ?
« Les Pyrénées sont le point central. Il faut regarder versant nord, des terres désertes avec de nombreux fauves. » A quoi ces indications pourraient bien correspondre ?
Dans les cordillères cantabriques, le seul « fauve » connu est le « vautour fauve ».
Le « vautour fauve » est aussi nommé « griffon ».
Le griffon est un animal légendaire avec le corps d’un aigle sur l’arrière d’un lion avec des oreilles de cheval.
Hérodote, dans son Enquêtes, livre III, il dit que les griffons vivent près des gisements d’or importants. Il fait référence à la chaine montagneuse de l’Asie qui se trouve en Asie centrale (Chine, Russie, Mongole Kazakhstan) mais bizarrement Hérodote la situe en Europe du nord.
Ces fameux griffons sont à chercher du côté nord de l’Altaï, entre les cours supérieurs de l’Irtych et de l’Iénisséi. « Altaï » signifie « doré ».
De très anciens squelettes d’Homo Sapiens ont été retrouvés dans ces montagnes.
Les Arimaspes sont un peuple légendaire de Scythie qui se situe dans l’actuelle Crimée, nord-est de la mer noire. Les auteurs antiques les font habiter au-delà des monts Hyperboréens. L’Hyperborée est considérée être au nord de l’Europe alors que là, nous sommes en Asie mineure. Le texte d’Hérodote fait référence aux combats légendaires entre les Arimaspes et les griffons, gardiens de l’or des trésors d’Apollon. Les premières évocations de ces combats sont dans les textes d’Aristée de Proconnèse. Les Arimaspes sont décrits comme ayant qu’un seul œil.
Les Arimaspes auraient chassés les cimmériens des bords du Pont-Euxin (mer Noire).
Nous nous éloignons du sujet.
Est-ce qu’Henri Boudet veut-il faire un parallèle entre l’Altaï et les Pyrénées ?
Que trouvons-nous au milieu des Pyrénées, sur le versant nord ? Des fauves ? Une région peut-être dorée ?
Comme nous l’avions vu en début de livre, nous avions identifié le Pic de Pibeste, le mail d’Arreou, qui se trouvent au sud-ouest de Lourdes. Et nous avons la ville d’Arreau et la vallée d’Aure, non loin du col d’Aspin au sud-est de Lourdes. On trouve des sonorités « dorées » dans ces différents lieux. Et nous sommes bien au centre des Pyrénées, sur le versant nord.
En regardant une nouvelle fois la carte, nous nous apercevons que nous sommes passés à côté du plus grand fauve à côté des Pyrénées !
Le golfe du Lion !
Ce golfe va des Pyrénées jusqu’au Var.
Il démarre au Cap de Creus, qui signifie « croix » en Catalan.
On lui a attribué différents noms au cours de l’Histoire. Dans l’antiquité, le nom le plus usité était « mare gallicum » c’est-à-dire « la mer des Gaulois ». Faut-il fait un parallèle entre « Lion » et « Gaulois » ? Cela n’est pas certain du tout car Henri Boudet nous parle des Ibères allèrent au-delà des Pyrénées en terre Gauloise encore déserte.
Ce n’est qu’au moyen-âge qu’on lui donna le nom de « sinus leonis » en latin qui signifie « golfe du Lion ».
« Sinus » possède aussi le sens « poitrine, sein, sein de la mère nourricière » comme dans « grandir en son sein ».
Clairement nous n’avons pas identifié quels sont ces « fauves » dont Henri Boudet fait allusion.
Le formatage du texte a été pensé, les césures, les retours à la ligne et les figures de style ne sont pas là par hasard. Par exemple l’allitération « les fauves de leur feraient point défaut » a bien une raison d’être au-delà de l’exercice de style.
Si nous anticipons sur les pages suivantes et que nous nous intéressons au livre « L’homme primitif » de Louis Figuier », il cite la présence de squelettes de grands tigres (felis spelaea) et de hyènes (hyena spelaea) dans les cavernes. On les nomme aujourd’hui lion des cavernes (felis spelaea) et de hyènes des cavernes (hyena spelaea).
Donc, des fauves ? Oui, selon Louis Figuier.
Cordillère Cantabrique
On peut considérer que nous sommes dans la prolongation des Pyrénées mais nous ne sommes plus dans le massif Pyrénéen.

Extrait de « Histoires, Livre III, L’altaï, son istoire anturelle, ses mines, ses habitants » d’Hérodote

Carte d’Arreau, dans la vallée d’Aure, au sud-est de Lourdes


Mail d’Arréou au Sud-Ouest de Lourdes

Golfe du Lion

Extraits de « L’homme primitif » de Louis Figuier

Liens :
Vardules : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vardules
Cantabres : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cantabres
Les guerres cantabres : https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerres_cantabres
Ibères : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ib%C3%A8res
Royaume d’Ibérie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_d%27Ib%C3%A9rie
Colchide : https://fr.wikipedia.org/wiki/Colchide
Amas coquillier : https://fr.wikipedia.org/wiki/Amas_coquillier
Tharsis : https://fr.wikipedia.org/wiki/Tarsis
Tharsis, personnage, ville : https://emcitv.com/bible/strong-biblique-hebreu-tarshiysh-8659.html
Tharsis, pierre précieuse : https://emcitv.com/bible/strong-biblique-hebreu-tarshiysh-8658.html
Table des peuples : https://fr.wikipedia.org/wiki/Table_des_peuples
Constellation du Toucan : https://fr.wikipedia.org/wiki/Toucan_(constellation)
Cordilière Cantabrique : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cordill%C3%A8re_Cantabrique
Vautour fauve : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vautour_fauve
Griffon : https://fr.wikipedia.org/wiki/Griffon_(mythologie)
Griffon (chien) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Griffon_(chien)
Hippogriffe : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hippogriffe
Altaï : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alta%C3%AF
Irtych : https://fr.wikipedia.org/wiki/Irtych
Iénissei : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ienisse%C3%AF
Arimaspes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arimaspes
Vallée d’Aure : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vall%C3%A9e_d%27Aure
Golfe du Lion : https://fr.wikipedia.org/wiki/Golfe_du_Lion
Cap de Creus : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cap_de_Creus
Sinus : https://sites.google.com/site/etymologielatingrec/home/s/sinus



