La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 111

Partie analysée : Page 111 – Premier paragraphe :

Comme nous venons de le voir, Henri Boudet s’appuyant sur les commentaires présents des versets 18 et 19 du chapitre IX de la Genèse de la Bible de Carrières va s’appuyez sur la langue et non sur les attributs physiques ou les mœurs pour mener son analyse des basques. Il va essayer de démontrer que malgré l’incapacité de son époque de rattacher la langue basque à une autre langue plus ancienne, cette langue basque est bien héritière de la langue originelle primitive, soit l’anglais monosyllabique.
Partie analysée : Page 111 – Deuxième paragraphe :

Henri Boudet nous signale que du fait que le peuple basque a vécu dans ses montagnes à l’écart des autres peuples et de par leur caractère en acier trempé, la langue basque a conservé ses attributs originels sans trop d’altération depuis sa création. Ceci rendre encore plus facile la démonstration d’Henri Boudet dans le rattachement de la langue banque à la langue originelle parlée par Noé et Japheth.
Partie analysée : Page 111 – Troisième paragraphe :

Il en prend pour preuve que les basques eux-mêmes sont bien incapables d’expliquer de manière cohérente, ni convaincante la signification originelle des mots qu’ils utilisent. Il ajoute que chacun de ses termes forme une phrase complète. Le basque ne possède plus les mots élémentaires (monosyllabes) permettant une association (combinaison de mots monosyllabiques) pour qualifier les qualités des hommes ou de la nature de manière exacte. C’est par cette incapacité que les Ibères se sont vus imposés les mots que le « Neimheid », c’est-à-dire le grand druide à l’origine de peuple et des concepts religieux Gaulois utilisaient pour nommer les nouveaux mots Ibères en les formants par des mots celtiques monosyllabiques. Les Basques étaient dans l’incapacité de traduire ces mots celtiques.
Liens
Dictionnaires basques : https://www.lexilogos.com/basque_dictionnaire.htm



