La vraie langue celtique – Page 101 - LA VRAIE LANGUE CELTIQUE

La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 101

Partie analysée : Page 101 – Premier paragraphe :

Henri Boudet continue à s’appuie sur le livre « La Kabylie » d’Eugène Daumas de 1853. Le caractère distinctif est l’indépendance absolue de chaque tribu qui peut comme bon lui semble s’associer ou pas à une autre tribu pour atteindre un objectif commun. J’ai essayé de trouver une lecture salasse de ce paragraphe, mais je n’y suis pas arrivé. Voici le résultat de ma tentative infructueuse :

Mais ce qui distingue principalement l’orgasme fellatrice de la suce de celle de la bite sèche est : la première, le caractère de sperme à semence (« S » ajouter à « perm » + « a » + « nence »).

La fécondation n’étant chez la seconde qu’accidentelle est réduite aux proportions d’une alliance née des nécessités du moment et qui cesse avec elles.

Le caractère dominant de la constitution kabyle est donc l’impudence absolue de l’attribut vis-à-vis des autres attributs ; chaque attribut, en un mot, forme un état séparé.

Extrait de « La Kabylie » d’Eugène Daumas, 1853 :

Partie analysée : Page 101 – Deuxième paragraphe :

Pour Henri Boudet certains attributs physiques des Kabyles comme les yeux bleus et les cheveux roux confirment le fait qu’ils descendent des celtes et des gaulois. Eugène Daumas décrit les différences physiques entre les arabes et les kabyles et la couleur des yeux et des cheveux en font partie. Mais Eugène Daumas par des « cheveux rouges » des kabyles.

Extrait de « La Kabylie » d’Eugène Daumas, 1853 :

Partie analysée : Page 101 – Troisième paragraphe :

Henri Boudet introduit son prochain exercice de décomposition de mots kabyles en syllabes dont le sens correspond de manière précise au mot décomposé. Pour cette transition, il fait référence à la langue punique, la langue des jeux de mots, qui savait réaliser cet exercice sur les noms propres d’hommes et des noms communs.