La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 12

Dans les nom de chapitre précédents, nous avions semblé identifier l’utilisation d’une police à chasse fixe. Mais, ici, pour ce titre, ce n’est pas le cas. Le « III » se trouve au-dessus de deux caractères seulement, « EN » et pas trois comme cela aurait dû être le cas, si nous avions à faire à une police à chasse fiche. Ce « III », découpe le titre en deux partie de même longueur, de 19 ou 20 caractères selon si nous prenons en compte le « EN » de « LANGUEDOCIEN ». Faut-il voir un texte ou des mots cachés ?J’ai pris un décalage, de 1, 2 et 3 caractères, 3 comme le numéro du titre « III ».
En alignant le titre, voilà un peu ce que l’on pourrait trouver.
ICI, SAGES, CET, SEL, CODE LAID, CE, ETC, DELUGES
DIALOGUE ACCIDENTEL : anagramme de DIALECTE LANGUEDOCI
A vous de chercher !

Henri BOUDET lui-même conçoit que l’utilisation du dialecte languedocien pour identifier la vraie langue celtique peut paraître bizarre alors que de toute évidence l’utilisation du dialecte breton semble de prime abord beaucoup plus logique. Il justifie son choix par le fait que le dialecte languedocien a hérité des langues celtes apportées par les volkes tectosages et les volkes arécomiques, d’origine belge, si tant est cela pourrait être prouvé, qui ont traversé la gaule celtiques et ce sont implantés dans le sud de la France et plus particulièrement le Languedoc pour les volkes Tectosages. Henri BOUDET fait référence à l’Histoire des gaulois d’Amédée THIERRY dont il a utilisé de nombreux extraits en début de LVLC.



