La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 128

Partie analysée : Page 128 – Premier paragraphe :

Henri Boudet abandonne ses livres de références qu’il a utilisé jusqu’à présent, soit la Bible, les différentes références à des mots basques et anglais qui renvoient au dictionnaire Français-Basque de Louis Fabre et du dictionnaire Anglais-Français de Percy Sadler.
Henri Boudet va citer et recopier de très nombreuses pages du livre « l’homme primitif » de Louis Figuier où l’on retrouve des éléments archéologiques de la vie des hommes du Néolithique.
Dans la page précédente, Henri Boudet nous a indiqué l’utilisation de silex par ses hommes ainsi que l’utilisation probable de fer pour marquer des lamelles de pierres tendres ou des morceaux de bois ; tracer des lignes afin de marquer les jours qui les séparaient de leur départ à la chasse de leur lieu d’habitation habituelle.
La première référence que donne Henri Boudet de « l’homme primitif » est la caverne de Bize dans l’Aude, où monsieur M. C. Cailhol a recueilli une lamelle de pierre assez tendre avec des encoches sur les bords.
Puis il cite une seconde référence concernant la grotte d’Aurignac (Haute-Garonne) où Edouard Lartet trouva une quantité d’ossements d’ours des cavernes, d’auroch, de renne et de cheval » Et devant cette grotte au milieu des débris une lame de bois coupé sur les deux bouts, une face polie présente une série de lignes transversales. Monsieur Lartet voit dans ces lignes et ces entailles des signes de numération. Monsieur Steinhauer eut l’idée que c’était des marques de chasse.
Il est assez déroutant de voir Henri Boudet, un homme d’église qui s’est appuyé sur la table des peuples issue de la Bible qui souffle l’extension et la présence des peuples sont issues des enfants de Noé présente maintenant « l’homme primitif » qui est l’homme qui a vécu au paléolithique et au néolithique.
Il est bien difficile de concilier les deux regards : La Bible et la table des peuples d’un côté et les hommes préhistoriques de l’autre.
Comme nous l’avons vu dans les pages précédents, et tout particulièrement dans les pages 109 et 110 de La vraie langue celtique, Tharsis est le fils de Javan, neveu de Tubal, petit-fils de Japhet. Tharsis et Tubal marins aguerris ont traversé la méditerranée pour s’implanter en Ibérie (Espagne) au sud de la Gaule. Henri Boudet nous a dit que leur installation fut aisée car les Celtes traversant l’Europe par voie terrestre en longeant le Danube mirent beaucoup plus de temps qu’eux pour arriver ne Ibérie.
Et maintenant, on se retrouve avec les hommes du néolithique. Et cela sans vraiment de transition. C’est assez confus. Nous comprenons que les hommes du Néolithiques descendent directement de la migration de Tharsis et Tubal et ses compagnons. Cela n’a pas vraiment de sens !
Vérifions la première affirmation d’Henri Boudet sur la découverte à la caverne de Bize
Si nous prenons « l’homme primitif » de Louis Figuier, c’est Paul Tournal, pharmacien et archéologue, fondateur de la discipline et du terme « préhistoire », fondateur du musée archéologique de Narbonne qui réalisa des fouilles dans la caverne de Bize (Aude) en 1826. C’est le fait marquant de début de sa carrière d’archéologue.
D’où vient donc ce « M.C. Cailhol » cité par Henri Boudet ?
Si on se réfère à l’index de la fin du livre de Louis Figuier où les personnalités citées dans l’ouvrage sont référencées, il n’y a aucun monsieur Cailhol.
Nous avons un monsieur Filhol, plus exactement un duo de cherhceurs, Garrigou et Filhol.
Dans la préface, Louis Figuier indique que son livre est suivi de la reproduction des mémoires de Messieurs : Lartet, Christy, Edouard Dupont, Garrigou et Filhol, de Vibraye, Prunier-Bey.
Toujours pas de Cailhol en vue !
Nous n’avons pas trouvé de « Cailhol » dans le livre. Aucun Cailhol n’est identifié sur une recherche Google.
Nous n’avons trouvé qu’un hameau nommé « cailhol » à Aigues-vives dans l’Hérault (situé entre Nîmes et Montpellier).
Nous trouvons le mot « calhol » qui est un mot toulousain. Il possède plusieurs significations :
- Variante de caiol : Robe des animaux constituée de blanc et d’une autre couleur, nommée aussi robe pie, comme pie-noir ou pie-brun pour les vaches, les chevaux, les chats
- Qui change de couleur, qui manque de loyauté, ambigü, fourbe
- Bizarre, étrange, singulier, toqué, imbécile
- Grivois, « una cançon calhola » signifie « une chanson grivoise»
« cailhol » donne « pi, fourbe, imbécile, grivois ».
Difficile de faire mieux ! C’est le combo gagnant !
Et puis « cailhol » ressemble beaucoup à « caillou ». Les fameuses pierres de notre ami Henri Boudet ! Et peut-on aller jusqu’à un double, voire triple ou quadruple jeu de mot ?! « un caillou avec un trou (hole) ». Il ne reste plus qu’un pas à faire pour aller jusqu’à un caillou rond avec un trou en son centre qui formerait « un cercle dans un cercle », c’est-à-dire « un cromlech ».
« M.C. Cailhol », est-ce réellement une personne ou une fantaisie d’Henri Boudet ? C’est toute la force d’Henri Boudet : modifier un seul mot ou un seul nom afin de pousser une information qui ne peut pas être identifiée si nous n’avons pas le livre de référence et repérer les infidélités à l’œuvre d’origine.
Chaque infidélité est un indice.
Dans l’introduction de « l’homme primitif », il est dit qu’en 1826, M. Tournal publia ses découvertes qu’il venait de faire dans une caverne du département de l’Aude, où il avait trouvé des ossements d’aurochs, et de renne travaillé de la main de l’homme, à côté de coquilles comestibles, qui devaient avoir été transportées là par les hommes qui avaient vécu dans cette caverne.
Ce n’est qu’en page 146 que le nom de de la caverne est mentionnée : « la caverne de Bize ».
Dans les pages 146, 147 et 148 qui fait référence à l’époque du Renne de l’âge de la Pierre (Quels jeux de mots magnifiques de la part d’Henri BOUDET ! Bravo, monsieur le curé, il fallait le trouver !) différentes découvertes sont citées dans des cavernes en France, en Belgique, en Allemagne et en Suisse.
L’index à la fin du livre confirme qu’il n’y a que dans les pages 7 et 146 la présence de Monsieur Lartet.
Mais il n’y a pas d’indication concernant la découverte de lamelle de pierre portant des encoches sur les bords.
Les seuls artéfacts où l’on trouve des encoches sur les bords sont en bois de renne et non pas en pierre comme l’avance Henri Boudet. Et ces bois de Renne avec ces encoches n’ont pas été découverts dans la caverne de la Bize mais dans la grotte d’Aurignac dont Henri Boudet parle justement après.
Si on reprend la phrase d’Henri Boudet : « la caverne de Bize dans l’Aude, où monsieur M. C. Cailhol a recueilli une lamelle de pierre assez tendre avec des encoches sur les bords. ». Nous pouvons dire les choses suivantes :
- Ce n’est pas le bon explorateur : C’est Paul Tournal qui explora la grotte de Bize et Edouard Lartet pour la grotte d’Aurignac. Ce monsieur M. C. Cailhol est bien mystérieux car on ne trouve pas trace de son existence.
- Ce n’est pas le bon lieu : C’est dans la grotte d’Aurignac en 1860 et non dans la grotte de Bize en 1826 que l’artéfact a été trouvé
- Ce n’est pas la bonne matière : Cet artéfact (cette lame avec des encoches sur les bords) est en bois de Renne et pas en pierre tendre
Sous cette apparence anodine, cette phrase qui peut être lue sans qu’on lui prête la moindre attention avance des faits complètement faux.
Pourquoi donc ?
Qu’est-ce qu’Henri Boudet veut nous dire ?
Cet artéfact porte un nom particulier. Ce type d’artéfact porte un nom bien précis, qui est « lame à coche ». Et quand on prononce « lame à coche », on peut entendre aussi « l’arme à gauche » (de l’expression « passer l’arme à gauche »). Faut-il comprendre que la lame à coche est en bois de renne mais l’arme à gauche est en pierre ?
L’arme à gauche en pierre fait penser évidemment à une pierre tombale, la pierre sous la-quelle on se retrouve, une fois que l’on a passé l’arme à gauche.
Et une lame à coche en bois de renne fait penser à ? Pas grand-chose, gloups ! Si ce n’est se dire qu’il y aurait une pierre tombale dans les bois de Rennes-les-bains ou Rennes-le-château, comme nous sommes au pays des Rennes !
Si l’on continue sur ce chemin, « Bize » peut être interpréter comme « une bise », c’est-à-dire « un baiser sur la joue, ou la main ». Et un baiser sur la joue fait penser à ?… la trahison de Jésus par Judas. Judas donna un baiser sur la joue de Jésus pour que les gardes armés de Sanhedrin identifient Jésus pour l’arrêter. Il est considéré comme le premier acte de la passion du Christ.
Ce n’est pas fini. Encore un petit effort, on va y arriver !
Henri Boudet nous propose « Bize » au lieu de « Aurignac ». Et si je vous dis « Aurignac », vous pensez à quoi ? Moi, je pense à « orignal » qui est le nom donné en Amérique du nord aux cervidés, c’est-à-dire aux élans ou aux rennes (encore eux !). Et quand on cherche le mot « orignal », on tombe sur le mot « alces » dont l’origine est basque : « oreinak » pluriel de « orein » qui signifie « cervidés, rennes, caribous ». On retrouve nos amis basques ! Et « alces » fait penser à « la sals », les sources salées de la sals, rivière qui traverse Rennes-les-bains.
On continue…
« M.C. Cailhol » au lieu de « M. Lartet » sachant que nous avons aussi un « M. Filhol ». Cela est bien étrange.
Pourquoi « M.C. » ? Le plus connu actuellement est « maitre de cérémonie / master of ceremony ». « M.C. » signifie aussi « Main Character » en anglais, c’est-à-dire le personnage principal. « Mc » est aussi la contraction de « Mac » en écossais et irlandais, c’est-à-dire « Fils de ». Et un « mac » est un « maquereau, un souteneur ». On attribue l’expression « le fils de l’homme » à Jésus qui l’utilisait pour se nommer lui-même ainsi.
Si on joue sur la substitution « Cailhol / Filhol ». Le « hol » n’est pas altéré. Nous pouvons avoir à faire à un « hole », c’est-à-dire « un trou » ou « holly », c’est-à-dire « saint » ou bien encore « au lit ! ». Pour la substitution « Cai » par « Fi » peut-elle être lu « key » comme « la clé, la touche, la légende » et « phi », soit 1,618 qui intervient dans la géométrie sacrée et le nombre d’or. Phi pourrait donc la clé d’une forme géométrie sainte et/ou sacrée.
Et si je vous dis « Lartet », que peut-on entendre ? « larder » par exemple !
C’est-à-dire « piquer, blesser, transpercer ». Et puis, vu le contexte, qui a été transpercé par la pointe d’une lance ? Jésus sur la croix, évidemment ! La sainte lance ou la lance de longinus. Le soldat romain Longinus planta la pointe de sa lance dans le flanc de Jésus crucifié afin de vérifier s’il était mort. Et comme il était mort, ils ne lui cassèrent pas les os des jambes pour abréger le supplice (c’est-à-dire mourir plus rapidement d’étouffement). Petite précision qui a son importance, la lance des légionnaires romains portait un nom particulier « une hasta ».
Cette petite phrase qui semblait être si anodine pourrait être interpréter par certains comme étant une indication sur la présence du tombeau de Jésus dans la forêt de Rennes (Rennes-les-bains ou Rennes-le-château).
Notre avis : Fantaisie à la Boudet !
Ce « cailhol » qui donne « fourbe, imbécile, grivois » auquel on peut rajouter « un mac », « un trou », « au lit ! », bon appétit ! Pourquoi Henri Boudet, homme d’église, juxtaposerait-il l’image de Jésus-Christ à celle d’un personnage fourbe, imbécile, grivois et qui serait de surcroit rien d’autre qu’un souteneur de prostituées (un mac) ?!
Concernant la fouille de la grotte d’Aurignac par Monsieur Lartet en 1860 :
Puis il cite une seconde référence concernant la grotte d’Aurignac (Haute-Garonne) où Edouard Lartet trouva une quantité d’ossements d’ours des cavernes, d’auroch, de renne et de cheval » Et devant cette grotte au milieu des débris une lame de bois coupé sur les deux bouts, une face polie présente une série de lignes transversales. Monsieur Lartet voit dans ces lignes et ces entailles des signes de numération. Monsieur Steinhauer eut l’idée que c’était des marques de chasse.
La première partie est une recopie de la page 70 dont le texte original est le suivant : « M. Lartet y trouva une quantité d’ossements de l’ours des cavernes, de l’aurochs, du renne, du cheval, etc »
La seconde partie est une recopie de la page 73 dont le texte original est le suivant : « Une autre lame (de bois de renne), accidentellement tronquée aux deux bouts, dont l’une des faces, parfaitement polie, offre deux séries de lignes transversales également distancées entre elle, et dont les bords latéraux sont marqués d’encoches plus profondes, assez régulièrement espacées. M. Lartet voit dans ces lignes et ces entailles des signes de numération, et M. Steinhauer a émis l’idée que ce sont des marques de chasse. »
Nous constatons une seule différence avec le texte d’origine. Henri Boudet nous propose le texte suivant : « Une lame de bois de renne, accidentellement coupée aux deux bouts, dont l’une des faces, parfaitement polie, offre deux séries de lignes transversales également distancées entre elles, et dont les bords latéraux sont marqués d’encoches plus profondes, assez régulièrement espacées. M. Lartet voit dans ces lignes et ces entailles des signes de numération, et M. Steinhauer a émis l’idée que ce sont des marques de chasse. »
Pourquoi cette envie de remplacer le mot « tronquée » par le mot « coupée » ?!
Nous avons une lame avec les deux bouts cassés ou tronqués avec eux séries de lignes transversales aux extrémités à égales distances entre elles et dont les bords latéraux sont marqués d’encoches plus profondes.
Henri Boudet veut nous parler de quoi ?
Cela ressemble à un quadrillage d’une feuille de papier à écrire avec des lignes parallèles plus ou moins épaisses espacées régulièrement.
Ou bien une carte avec un quadrillage.
Il y a quelques pages, Henri Boudet nous parlait de « çhamp » avec un « c » cédille, dans la liste des 36 mots à la fin du chapitre sur les basques. Nous avions évoqué une lecture de « çhamp » en « c’est hampe ». La hampe est la partie des traits verticaux dans les caractères typographiques. Ils portent plusieurs noms « fut, hampe, haste, montant ».
Nous avons vu que la lance de Longinus et de manière plus générale celle des légions romaines s’appelait « hasta ». La définition d’une hampe est « long manche ou support, généralement en bois, d’une arme d’hast, d’un drapeau, d’un instrument.
A la recherche de Monsieur Steinhauer, nous tombons sur le livre « Monographie géologique du Mont-d’Or lyonnais et de ses dépendances » d’Albert Falsan et Arnould Locard. Dans ce livre, nous apprenons que Monsieur Steinhauer était le conservateur du Musée ethnographique de Copenhague au Danemark. Il a été l’inventeur de la dénomination « des âges de la pierre, du bronze et du fer ».
Dans la partie du livre de messieurs Falsan et Locard, qui se nomme « Age de pierre » nous apprenons que Monsieur Lartet a réalisé des fouilles dans les montages de l’ouest Lyonnais que l’on appelle « les monts d’or ». Parmi ces monts d’or nous avons le Mont Verdun, le Mont-Toux (aussi orthographié Mont-Thou), le Mont-Ceindre, le Mont Narcel.
Ce nom « mont d’or » pourrait venir de la couleur des pierres dorées ou bien du mot celtique « dore » qui signifie « eau ».
Au sommet de ces monts, des restes d’hommes qui ont vécu il y a fort longtemps ont été retrouvés « les débris de leurs armes, de leurs ustensiles et de leurs industries ». Les archéologues ne savaient pas à qui ils avaient à faire. Les lieux de découvertes de ces restes ont été appelés « stations celtiques du Mont d’or ». Nous savons que certains chercheurs de l’affaire de Rennes-le-château avancent des relations de l’abbé Saunières avec la région lyonnaise. Ces stations celtiques du Mont d’or nous interpellent ! Ces chercheurs ont-ils raison ?!
Revenons à nos moutons !
Dans ce livre, « Monographie géologique du Mont-d’Or lyonnais et de ses dépendances », il est dit « M. Lartet a recueilli dans les cendres du foyer de la caverne d’Aurignac (Haute-Garonne) un cailloux qui, comme ceux dont nous parlons, était arrondi dans un sens, et présentait dans l’autre deuc faces aplaties, avec une dépression dans le milieu. D’après l’explication donnée par M. Steinhauer, conservateur du Musée ethnographique de Copenhague, il a dû servir à retailler, par coups ménagés, le tranchant des couteaux de silex. L’enfoncement ou dépression que présentent de chaque côté ses faces planes, était destiné à loger un des doigts opposés de la main pour en faciliter la manœuvre. »
On ne parle clairement pas de la même chose !
Cet extrait de « « Monographie géologique du Mont-d’Or lyonnais et de ses dépendances », est lui-même un extrait d’un autre livre. C’est un extrait de « Annales des sciences naturelles, de 1861, série 4, livre XV ».
La lame en bois de Renne présentée dans le livre « L’homme primitif » de Louis Figuier (à gauche) et la même lame présentée dans les « Annales des sciences naturelles, livre XV, de 1861 (à droite).

Nous remarquons que les marques faites ne sont pas si parallèles que cela !!! Elles ne sont pas vraiment rectilignes non plus !
Louis Figuier semble avoir enjolivé les choses !
Néanmoins tous les livres sont concordants sur le fait que cette lame est bien en bois de Renne.
Et le caillou pour aiguiser les silex ressemble à l’image suivante.

Il ressemble à ce que l’on appelle « un pi chinois » (image ci-dessous) !
Un cercle dans un cercle ! Le Cromlech de Monsieur Boudet !

De plus, dans les ouvrages que nous avons consultés, Monsieur Steinhauer ne semble pas être à l’origine de l’idée des marques de chasse !
Sacré Monsieur Boudet !
Extraits de « L’homme primitif » de Louis Figuier concernant la caverne de Bize






Extraits de « L’homme primitif » de Louis Figuier concernant la grotte d’Aurignac




Extrait « Monographie géologique du Mont-d’Or lyonnais et de ses dépendances » d’Albert Falsan et Arnould Locard




Extrait de « Annales des sciences naturelles, 1861, série 4, livre XV : La botanique », page 187

Extrait de « Annales des sciences naturelles, 1861, série 4, livre XV : La botanique », page 189

Extrait de « Annales des sciences naturelles, 1861, série 4, livre XV : La botanique », planche 10, figure 3


Extrait de « Annales des sciences naturelles, 1861, série 4, livre XV : La botanique », planche 11, figure 7


Hampe en typographie

Liens :
Paul Tournal : https://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Tournal
Edouard Filhol : https://blogs.univ-jfc.fr/universitas/2024/02/05/edouard-filhol-1814-1883-un-savant-toulousain/
Henri Folhol : https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Filhol
Robe Pie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pie_(robe)
La minerve de Toulouse : https://presselocaleancienne.bnf.fr/ark:/12148/cb32816223w
Calhol : https://fr.wiktionary.org/wiki/calh%C3%B2l
Grotte du moulin (Bize) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Grotte_du_Moulin_(Bize)
Bize-Minervois : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bize-Minervois
Le baiser de Judas : https://fr.wikipedia.org/wiki/Baiser_de_Judas
Alces : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alces
Larder : https://www.cnrtl.fr/definition/larder
Phi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Phi
Nombre d’or : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_d%27or
Maitre de cérémonie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ma%C3%AEtre_de_c%C3%A9r%C3%A9monie
Main character : https://fr.wikipedia.org/wiki/MC
Mac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mac_(pr%C3%A9fixe)
Mac (souteneur) : https://www.cnrtl.fr/definition/MAC
Le fils de l’homme : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fils_de_l%27Homme
La sainte lance : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte_Lance
Hasta, lance légion romaine : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hasta
Hampe : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hampe
Hampe : https://www.cnrtl.fr/lexicographie/hampe
Hampe (viande) : https://fr.wikipedia.org/wiki/Hampe_(viande)
Arme d’hast : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arme_d%27hast
Géographie géologique des Monts-d’or Lyonnais : https://patrimoine.minesparis.psl.eu/scripto/transcribe/1428/166212
Mont d’or : https://fr.wikipedia.org/wiki/Monts_d%27Or
Mont Thou : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Thou
Mont Verdun : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Verdun
Mont Cindre : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Cindre
Mont Narcel : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mont_Narcel



