La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 98

Partie analysée : Page 98 – Le titre :

De prime abord, je n’ai rien à relever de particulier, si ce n’est ce point final.
« LANGUE » et « KABYLE » possèdent tous deux 6 lettres.
Si nous regardons l’utilisation qu’Henri Boudt fait du « K » comme dans « cromleck », il substitue le « H » par un « K ». Ces deux lettres sont graphiquement proches. Si non réalisation cette substitution dans le titre : « langue kabyle » devient « langue habile ». Il nous parle de la finesse et de la ruse des carthaginois, mais les numides ne sont pas en reste. De plus les kabyles sont les descendants des Numides. Etre rusé n’est pas seulement dans les actes, cette ruse doit aussi se retrouver dans la parole et dans la langue.
Dans le chapitre précédent sur les carthaginois, une des lectures possibles tournait autour du sexe anal. Est-ce qu’Henri Boudet, nous prévient que ce chapitre va concerner le sexe oral avec des « langues habiles » ? Cela n’est pas impossible.
Partie analysée : Page 98 – Premier paragraphe :

Henri Boudet nous fait une compilation des acteurs carthaginois vus dans le chapitre précédents qui sont maitre en ruse, finesse, vice, mauvaise foi et tromperie. Il commence par les carthaginois en général. Mais que les carthaginois ne sont pas les seuls : Gulussa, fils de Massinissa en est une figure emblématique et il représente les mœurs Numides. Henri Boudet veut absolument faire dériver le nom « Gulussa » de « to gull » qui signifie « tromper, duper » alors que l’on ne retrouve rien dans le livre de Salluste ni dans les informations encyclopédiques sur ce brave Gulussa qui permettrait de partager l’avis d’Henri Boudet.
Liens
Langue Kabyle : https://fr.wikipedia.org/wiki/Kabyle
Les langues berbères : https://fr.wikipedia.org/wiki/Langues_berb%C3%A8res



