La vraie langue celtique – Page 27

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La vraie langue celtique de l’abbé BOUDET – Page 27

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Partie analysée : Page 27 : Titre du chapitre :

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On a l’impression d’avoir à faire à une tenture ou une broderie. Nous avons en alternance des cœurs (les cœurs sautent aux yeux) et des symboles « infini » (un 8 couché) encadrés en rouge. Nous en avions déjà parlé. Ce sont les « lacs d’amour », la corde nouée mais pas serrée forme un 8. C’est lacs d’amour est un des symboles maçonniques : elle se nomme « la houppe dentelée ». Je pense que les cœurs ont été ajoutés pour bien renforcer la symbolique des « lacs d’amour ». L’objet encadré en vert et qui pend pourrait être l’œil de la connaissance que l’on retrouve dans les temples maçonniques à cet endroit-là mais la forme ne correspond pas trop. Cela pourrait être le compas et l’équerre qui donnerait cette forme ? Cela pourrait aussi être un chandelier à 3 branches, Jésus-Christ sur la croix, l’esprit saint sous l’apparence d’une colombe qui descendrait du ciel,  ou la patte d’un palmipède. Nous pouvons y voir tout ce que l’on veut.

Trois polices typographiques différentes sont utilisées pour « CHAPITRE II », « LANGUE HEBRAIQUE » et « LES NOMS DIVINS ». Le « E » de « HEBRAIQUE » est accentué. « LES NOMS DIVINS. » finit parun point de ponctuation alors que « LANGUE HEBRAIQUE » n’a pas de point final. Je ne relève rien de particulier sur le petit filet décoré en forme de nœuds sous « LANGUE HEBRAIQUE ». « LES NOMS DIVINS » peuvent être lus comme les « LES VINS NOMS-DI » soit « LES VINGT NON-DITS ». « LANGUE HEBRAIQUE » peut se transformer en « AN-BR GUE-A-HE-L-I-QUE » soit « AMBRE GAELIQUE »

Symbole chrétien : La colombe / l’esprit saint

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Photo d’une loge maçonnique moderne :

La pièce symbolise le temple de salomon, avec un parterre en forme de damier, la houppe dentelée avec nœuds en forme de lacs d’amour (encadré en rouge) au ras du plafond, l’œil de la connaissance et lacompas et l’équerre (encarés en vert).

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Partie analysée : Page 27 : Premier paragraphe :

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Henri BOUDET nous prépare au fait que le rapprochement des mots celtiques et hébraïques va être très long et rébarbatif mais que cela lui semble nécessaire. Il faut comprendre que tous les exemples qu’il va donner sont absolument nécessaires pour faire passer son message. S’il en manquait un, le message serait incomplet ou altéré. Ils ont donc tous leur raison d’être. Il va prendre comme exemple les récits bibliques avec toute l’exactitude sur des faits généraux que des actions criminelles sans faire de fioritures ni mettre de gants. Encore une fois la formulation générale parait bien étrange ! On a vraiment la sensation que le texte peut être lu différemment, codé comme nous étions enfants, une ligne sur deux ou un mot tous les tant de mots pour en avoir une toute autre lecture.Le premier indice que nous avons est la séquence « 1-1-1″ qui peut aider à trouver les syllabes.

Si on compte en mots : « 1-4-1-3-1 » avec « 4 = Histoire de France, note » et « 3 = de la page »

Si on compte en syllabes : « 1-8-1-4-1 » avec « 8=His-toi-re de Fran-ce, no-te » et « 4 = de la pa-ge »

Le second indice est la césure des mots a une grande importante.

Les deux derniers mots des deux dernières lignes sont  « dis- » et  « traits » : « distraits » ?

Toujours et encore l’impression qu’il faux récupérer des syllabes dans le texte pour former des mots ou des phrases. Mais qu’elle est la clé de lecture ?

« ten- / l’hu / de / vre » peuvent faire : « Tant lu d’œuvres »

« et / nes / s’y / dis- / traits » peuvent faire : « Et ne s’y distrait »

Il n’y a rien de probant. Simplement, une intuition.

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